Un système de protection sociale à bout de souffle
Notre système de protection sociale a vécu. Conçu à la sortie de la Seconde guerre mondiale, il était adapté à cette époque certes, mais pas à la nôtre. La médecine était beaucoup moins avancée et surtout moins coûteuse, les soins complexes et chers que nous connaissons aujourd’hui n’existant tout simplement pas à l’époque. Pourtant, malgré cette évolution, le système de protection sociale est resté le même : les soins médicaux restent gratuits, pour tous et pour tous types de pathologies. Et cela, alors même que l’exécutif allège les cotisations (CSG au premier chef) de certaines catégories de personnes.
Dans leur ouvrage « Dernière crise avant l’Apocalypse », Jean-Baptiste Giraud et Jacques Bichot s’attardent longuement sur cette véritable catastrophe économique mais aussi sociale et proposent des pistes, comme une modulation de la contribution à la Sécurité sociale pour les consommateurs d’alcool en excès ou encore la fin la Couverture Maladie Universelle (CMU). Le tout, afin de non seulement seulement rembourser toutes les dettes colossales de la Sécu mais aussi dégager des moyens pour faire face au mur de la dépendance puis, dans un deuxième temps, réduire considérablement les charges sociales qui plombent la compétitivité française.
Dans leur ouvrage « Dernière crise avant l’Apocalypse », Jean-Baptiste Giraud et Jacques Bichot s’attardent longuement sur cette véritable catastrophe économique mais aussi sociale et proposent des pistes, comme une modulation de la contribution à la Sécurité sociale pour les consommateurs d’alcool en excès ou encore la fin la Couverture Maladie Universelle (CMU). Le tout, afin de non seulement seulement rembourser toutes les dettes colossales de la Sécu mais aussi dégager des moyens pour faire face au mur de la dépendance puis, dans un deuxième temps, réduire considérablement les charges sociales qui plombent la compétitivité française.
Un monde occidental totalement impréparé aux réalités d’aujourd’hui
Dans cet ouvrage on lit aussi le sort peu enviable des « pays du Club Med », ces pays ayant axé leur économie sur les revenus du tourisme : lorsque celui-ci s’est totalement arrêté avec le début de l’épidémie de Covid-19, ces pays se sont rendu compte qu’ils n’avaient pas d’autres sources de revenus majeures. On y lit aussi l’étonnant essor de la Chine, jadis un pays pauvre et essentiellement agricole, devenu un acteur de premier plan des industries de pointe. « La pandémie mondiale a montré à quel point le monde était dépendant de la Chine pour quasiment tout : les médicaments de base, les masques, les blouses, les gants, mais aussi des équipements hospitaliers de pointe », écrivent dans cet ouvrage Jean-Baptiste Giraud et Jacques Bichot.
On y trouve aussi un chapitre sur les Gilets Jaunes, mouvement qui trouve ses racines dans l’éloignement et surtout l’incompétence des élites gouvernantes. Assises sur leurs acquis qui ont peu à voir avec leurs compétences réelles mais plutôt à leur bonne situation à la naissance et leurs hauts diplômes, ces élites nous gouvernent sans être véritablement les mieux placées pour le faire… Dans la même veine, on se demande aussi sur l’utilité réelles des études supérieures… Toutes ces questions et bien d’autres sont abordées dans cet ouvrage qui se lit comme un roman.
On y trouve aussi un chapitre sur les Gilets Jaunes, mouvement qui trouve ses racines dans l’éloignement et surtout l’incompétence des élites gouvernantes. Assises sur leurs acquis qui ont peu à voir avec leurs compétences réelles mais plutôt à leur bonne situation à la naissance et leurs hauts diplômes, ces élites nous gouvernent sans être véritablement les mieux placées pour le faire… Dans la même veine, on se demande aussi sur l’utilité réelles des études supérieures… Toutes ces questions et bien d’autres sont abordées dans cet ouvrage qui se lit comme un roman.