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Certes, il s’agit immédiatement de nuancer la performance du marché. À nombre de jours ouvrables équivalents (le mois de juin en a compté 22, contre 20 l’an dernier), la croissance du marché n’est plus que de 4,5%. Mais cela rattrape la contre-performance du mois de mai. Et ce chiffre montre que la reprise économique est toujours là.
Dans le détail, il s’est ainsi vendu 225 645 unités le mois dernier, contre 196 233 un an plus tôt. Chez les constructeurs français, cette croissance a surtout profité à PSA Peugeot Citroën qui a vu ses ventes progresser de 16,4%. C’est la marque Peugeot en elle-même qui a tiré son épingle du jeu. Les ventes de Renault n’ont pas à rougir, avec une progression de 8,5% (mais de 2,3% seulement pour la marque low cost Dacia).
Les constructeurs étrangers ne sont pas en reste, tout particulièrement Volkswagen dont les immatriculations neuves ont bondi de 24,4% (dont 29,3% pour la marque Skoda). Fiat a également beaucoup vendu en juin, avec une progression de 22,8%.
Dans le détail, il s’est ainsi vendu 225 645 unités le mois dernier, contre 196 233 un an plus tôt. Chez les constructeurs français, cette croissance a surtout profité à PSA Peugeot Citroën qui a vu ses ventes progresser de 16,4%. C’est la marque Peugeot en elle-même qui a tiré son épingle du jeu. Les ventes de Renault n’ont pas à rougir, avec une progression de 8,5% (mais de 2,3% seulement pour la marque low cost Dacia).
Les constructeurs étrangers ne sont pas en reste, tout particulièrement Volkswagen dont les immatriculations neuves ont bondi de 24,4% (dont 29,3% pour la marque Skoda). Fiat a également beaucoup vendu en juin, avec une progression de 22,8%.