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« Nous poursuivrons ce mouvement de baisse des impôts car les Français doivent être les premiers bénéficiaires des résultats obtenus », a-t-il expliqué. Certes, « Je mesure les efforts qui ont été demandés aux Français en 2012 et 2013 », rappelle le président de la République, tout en évoquant l'allègement du fardeau fiscal qui a eu lieu en 2014, puis cette année. « Une première baisse de la fiscalité en 2014 a concerné plus de trois millions de ménages », qui sont devenus neuf millions en 2015.
Et si la croissance est au rendez-vous en 2016, alors il y a des chances pour que des baisses d'impôts supplémentaires soient programmées pour 2017 — ça tombe bien, pile durant l'année de l'élection présidentielle durant laquelle François Hollande devrait, en toute logique, se présenter.
Mais avant, il faudra de la croissance. Au premier trimestre, elle s'est montée à 0,7%, suivi par 0% au second trimestre. Il y a toute de même des chances pour que le gouvernement atteigne 1% de croissance cette année, comme il l'avait estimé. Les 1,7% de hausse du PIB espéré en 2016 ne tiennent pas compte de la crise chinoise que l'on sent venir à l'horizon : gare aux désillusions.
Et si la croissance est au rendez-vous en 2016, alors il y a des chances pour que des baisses d'impôts supplémentaires soient programmées pour 2017 — ça tombe bien, pile durant l'année de l'élection présidentielle durant laquelle François Hollande devrait, en toute logique, se présenter.
Mais avant, il faudra de la croissance. Au premier trimestre, elle s'est montée à 0,7%, suivi par 0% au second trimestre. Il y a toute de même des chances pour que le gouvernement atteigne 1% de croissance cette année, comme il l'avait estimé. Les 1,7% de hausse du PIB espéré en 2016 ne tiennent pas compte de la crise chinoise que l'on sent venir à l'horizon : gare aux désillusions.