De moins en moins de naissances, une tendance qui dure
La croissance de la population de 0,4 % observée en 2016 est bien plus modérée que celle observée en 2006 (0,7 %). Ce taux élevé n’a d’ailleurs jamais été atteint depuis, baissant à 0,5 % entre 2009 et 2014.
La croissance de la population est due à un moindre nombre de décès (-7000 sur un an). Les naissances stimulent toujours la croissance de la population, même si elles sont en baisse par rapport à 2015 et encore plus par rapport à 2014. 785 000 bébés sont nés en 2016, soit 14 000 de moins que l’année précédente. Cette tendance s’observe également à long terme : la croissance naturelle de la population ne fait que ralentir depuis 1976. Au-delà de la baisse de fécondité (le taux de fécondité s’établit actuellement à 1,93 enfant par femme), cette baisse des naissances s’explique par la baisse du nombre de femmes en âge de procréer (8,4 millions en 2016 contre 8,9 millions en 2006 et 9,2 millions en 1996).
Le solde migratoire reste stable depuis 2014, la France accueillant chaque année 67 000 immigrés.
La croissance de la population est due à un moindre nombre de décès (-7000 sur un an). Les naissances stimulent toujours la croissance de la population, même si elles sont en baisse par rapport à 2015 et encore plus par rapport à 2014. 785 000 bébés sont nés en 2016, soit 14 000 de moins que l’année précédente. Cette tendance s’observe également à long terme : la croissance naturelle de la population ne fait que ralentir depuis 1976. Au-delà de la baisse de fécondité (le taux de fécondité s’établit actuellement à 1,93 enfant par femme), cette baisse des naissances s’explique par la baisse du nombre de femmes en âge de procréer (8,4 millions en 2016 contre 8,9 millions en 2006 et 9,2 millions en 1996).
Le solde migratoire reste stable depuis 2014, la France accueillant chaque année 67 000 immigrés.
Les mariages restent stables, le Pacs confirme sa popularité
Les mariages, au nombre de 228 000, restent quasi-stables en 2016, après 228 565 unions célébrées en 2015. En même temps, sur la décennie, leur nombre diminue : après 273 000 en 2006 et 245 900 en 2012, leur nombre est tombé à 230 700 en 2014, pour s’établir à 228 000 en 2016. Pour l’heure, il n’est donc pas clair si leur chute s’est arrêtée, ou bien si son rythme a tout simplement diminué.
L’âge moyen au mariage ne cesse de progresser et s’établit à 36,5 ans en 2016. C’est 5,2 ans de plus qu’en 1996 et 2,3 ans de plus qu’en 2006.
Le Pacs, quant à lui, cartonne à 189 000 pactes signés en 2015. C’est 15 000 de plus qu’en 2014. Après une baisse notable en 2011, ce dispositif ne cesse de gagner en popularité, au point qu’en 2015, 4 Pacs ont été signés pour 5 mariages.
L’âge moyen au mariage ne cesse de progresser et s’établit à 36,5 ans en 2016. C’est 5,2 ans de plus qu’en 1996 et 2,3 ans de plus qu’en 2006.
Le Pacs, quant à lui, cartonne à 189 000 pactes signés en 2015. C’est 15 000 de plus qu’en 2014. Après une baisse notable en 2011, ce dispositif ne cesse de gagner en popularité, au point qu’en 2015, 4 Pacs ont été signés pour 5 mariages.