Ce milliard d’euros couvre les indemnisations des séquelles liées aux lombalgies (pour 580 millions), les indemnités journalières (300 millions) et la prise en charge des sois (120 millions). Des chiffres très élevés qui recouvrent une réalité : le nombre de lombalgies a nettement augmenté en dix ans. Selon le rapport, on est passé de 146 000 cas en 2005, à 167 000 l’an dernier.
Le mal de dos est devenu le deuxième motif de recours au médecin traitant ; dans 20% des cas, une visite chez le médecin pour une lombalgie se termine en arrêt de travail, qui peut parfois aboutir à une situation plus difficile pour le salarié : incapacités de travail, opérations chirurgicales… Près d’un tiers des arrêts de travail durent plus de six mois, alors que le nombre d’accidents du travail sont plutôt en diminution ces dix dernières années (900 000 en 2015).
Par réduire le nombre d’accidents du travail liés aux lombalgies, l’Assurance maladie préconise des campagnes d’information et de formation, mais aussi d’autres mesures plus concrètes comme la reprise du travail à temps partiel (avec suivi de la médecine du travail), ou encore des mi-temps assis-debout.
Le mal de dos est devenu le deuxième motif de recours au médecin traitant ; dans 20% des cas, une visite chez le médecin pour une lombalgie se termine en arrêt de travail, qui peut parfois aboutir à une situation plus difficile pour le salarié : incapacités de travail, opérations chirurgicales… Près d’un tiers des arrêts de travail durent plus de six mois, alors que le nombre d’accidents du travail sont plutôt en diminution ces dix dernières années (900 000 en 2015).
Par réduire le nombre d’accidents du travail liés aux lombalgies, l’Assurance maladie préconise des campagnes d’information et de formation, mais aussi d’autres mesures plus concrètes comme la reprise du travail à temps partiel (avec suivi de la médecine du travail), ou encore des mi-temps assis-debout.