La croissance devrait s’établir à +0,5% au printemps, d’après la dernière enquête de conjoncture de la Banque de France. Rappelons que la progression du PIB avait été de +0,3% pendant les trois premiers mois de l’année. Cette augmentation prévue de la croissance cadre avec les prévisions de l’Insee ; il y a donc tout lieu de penser que le chiffre donné sera celui qu’atteindra la machine économique française.
La Banque de France explique que la production industrielle va accélérer dans tous les secteurs au mois d’avril, exception faite — et notable — de l’automobile. La croissance devrait rester dans cette tendance à la hausse pour le mois de mai. Dans les services, on note un coup de mou dans le secteur de l’intérim ; toutefois, la croissance devrait revenir au mois de mai, selon les chefs d’entreprise. Un rebond devrait aussi intervenir dans le bâtiment.
Emmanuel Macron a basé son programme économique sur une croissance de 1,4% pour cette année, et de 1,8% d’ici la fin du quinquennat. Une prudence de Sioux qui pourrait être payante au vu des estimations des institutions. La loi de finances pour 2017 tablait elle sur une progression du PIB de 1,5%, tandis que la Commission européenne penchait plutôt vers 1,4%.
La Banque de France explique que la production industrielle va accélérer dans tous les secteurs au mois d’avril, exception faite — et notable — de l’automobile. La croissance devrait rester dans cette tendance à la hausse pour le mois de mai. Dans les services, on note un coup de mou dans le secteur de l’intérim ; toutefois, la croissance devrait revenir au mois de mai, selon les chefs d’entreprise. Un rebond devrait aussi intervenir dans le bâtiment.
Emmanuel Macron a basé son programme économique sur une croissance de 1,4% pour cette année, et de 1,8% d’ici la fin du quinquennat. Une prudence de Sioux qui pourrait être payante au vu des estimations des institutions. La loi de finances pour 2017 tablait elle sur une progression du PIB de 1,5%, tandis que la Commission européenne penchait plutôt vers 1,4%.