Au chapitre des satisfactions, la croissance pour 2014 a été plus forte que prévue. Et de beaucoup : à l’origine, la progression du PIB avait été mesurée à 0,2%, mais finalement la croissance s’établit à 1%. Une première hausse de de 0,5 point avait été appliquée l’an dernier, et à l’occasion de la révision de cette semaine, l’institut des statistiques rajoute 0,3 point supplémentaire. Le tout revu et corrigé en prenant en compte les jours ouvrés et les jours fériés.
La mauvaise nouvelle, elle frappe 2015. La croissance avait au départ été annoncée à 1,2%, mais en fin de compte l’Insee la dégrade de 0,2 point, à 1% seulement. Selon l’institut, ce sont le solde des échanges extérieurs, moins bon qu’estimé, ainsi qu’une demande intérieure abaissée légèrement, qui expliquent cette baisse de la croissance qui place finalement 2015 au même niveau que 2014.
Enfin, l’année 2016 affiche une croissance de 1,1%. La consommation des ménages, en progression de 2,3% (1,4% pour 2015), et l’investissement des entreprises en hausse de 2,8% (après 1% l’année précédente) sont les principaux responsables de cette progression du PIB. L’Insee a calculé un déficit public qui s’établit à 3,4% pour 2016, et une dette publique qui pèse 96,3% du PIB.
La mauvaise nouvelle, elle frappe 2015. La croissance avait au départ été annoncée à 1,2%, mais en fin de compte l’Insee la dégrade de 0,2 point, à 1% seulement. Selon l’institut, ce sont le solde des échanges extérieurs, moins bon qu’estimé, ainsi qu’une demande intérieure abaissée légèrement, qui expliquent cette baisse de la croissance qui place finalement 2015 au même niveau que 2014.
Enfin, l’année 2016 affiche une croissance de 1,1%. La consommation des ménages, en progression de 2,3% (1,4% pour 2015), et l’investissement des entreprises en hausse de 2,8% (après 1% l’année précédente) sont les principaux responsables de cette progression du PIB. L’Insee a calculé un déficit public qui s’établit à 3,4% pour 2016, et une dette publique qui pèse 96,3% du PIB.