Ce calcul s'entend pour le secteur privé et public et en euros constants. En 2012, les salariés français avaient déjà goûté à la soupe à la grimace, puisque la baisse avait été de 0,4%. D'après l'Insee, ces baisses sont globalement le fait de la progression de l'inflation qui ralentit : alors qu'elle avait été de +2% en 2012, la hausse des prix n'a été que de +0.9% en 2013.
Parmi les catégories les plus touchées par cette baisse des salaires, on trouve les cadres qui ont accusé un recul conséquent de 1,1% en 2013. Tous les secteurs ne sont pas frappés de la même manière, mais ce sont en particulier les activités spécialisées, celles de services administratifs ainsi que le soutien qui ont été le plus durement touché.
L'Insee attribue cette baisse au forfait social en hausse pour les employeurs de ces cadres (en août 2012, il augmentait en effet de 12 points à 20%). Les ouvriers et les professions intermédiaires s'en sortent un peu mieux avec une baisse de « seulement » 0,3% de leurs salaires.
Restent les employés. Poussée par les hausses de salaires dans les catégories des employés administratifs et de commerce, cette catégorie a connu une hausse de rémunération moyenne de 0,2% en 2013.
Parmi les catégories les plus touchées par cette baisse des salaires, on trouve les cadres qui ont accusé un recul conséquent de 1,1% en 2013. Tous les secteurs ne sont pas frappés de la même manière, mais ce sont en particulier les activités spécialisées, celles de services administratifs ainsi que le soutien qui ont été le plus durement touché.
L'Insee attribue cette baisse au forfait social en hausse pour les employeurs de ces cadres (en août 2012, il augmentait en effet de 12 points à 20%). Les ouvriers et les professions intermédiaires s'en sortent un peu mieux avec une baisse de « seulement » 0,3% de leurs salaires.
Restent les employés. Poussée par les hausses de salaires dans les catégories des employés administratifs et de commerce, cette catégorie a connu une hausse de rémunération moyenne de 0,2% en 2013.