Entre janvier et fin mars, Apple a vendu 51,19 millions d’iPhone. C’est un volume très respectable, que bien des constructeurs de smartphones voudraient écouler. Mais voilà, c’est aussi une baisse de 16% par rapport au même trimestre de 2015. Une chute brutale qu’Apple avait anticipé, mais la réalité froide des chiffres dévoilés ce mardi 26 avril a provoqué un petit séisme du côté du QG du groupe, en Californie.
Tim Cook, le PDG d’Apple, a expliqué que le contexte international — ralentissement en Chine, dollar de plus en plus fort — avait lourdement pesé sur les ventes d’iPhone. On pourrait ajouter que l’iPhone 6s a joué de malchance : son prédécesseur, l’iPhone 6, s’était particulièrement bien vendu durant le premier trimestre 2015. En comparaison, le nouveau modèle n’a pas pu faire mieux.
Les analystes évoquent un problème plus profond, celui de l’innovation chez Apple. Alors que les concurrents font assaut de nouveautés, Apple donne l’impression de se contenter d’itérations certes intéressantes (comme l’écran 3D Touch sensible à la pression), mais pas suffisamment marquantes pour pousser au renouvellement. une équation qu’il faudra résoudre rapidement pour retrouver les niveaux d’antan.
Tim Cook, le PDG d’Apple, a expliqué que le contexte international — ralentissement en Chine, dollar de plus en plus fort — avait lourdement pesé sur les ventes d’iPhone. On pourrait ajouter que l’iPhone 6s a joué de malchance : son prédécesseur, l’iPhone 6, s’était particulièrement bien vendu durant le premier trimestre 2015. En comparaison, le nouveau modèle n’a pas pu faire mieux.
Les analystes évoquent un problème plus profond, celui de l’innovation chez Apple. Alors que les concurrents font assaut de nouveautés, Apple donne l’impression de se contenter d’itérations certes intéressantes (comme l’écran 3D Touch sensible à la pression), mais pas suffisamment marquantes pour pousser au renouvellement. une équation qu’il faudra résoudre rapidement pour retrouver les niveaux d’antan.