Pour les automobilistes, un problème chasse l’autre. Ils doivent déjà faire face à des prix en hausse dans les stations service ; voici maintenant qu’il va falloir prévoir payer plus cher les péages des autoroutes. Le Journal du Dimanche rapporte que la revalorisation des péages prévue au 1er février va s’accompagner d’une hausse supplémentaire : en plus de l’inflation, les opérateurs pourront ajouter une hausse comprise entre +0,146% et +0,22%. Il s’agit de compenser un plan d’investissement de 700 millions d’euros de travaux et de rénovation.
Ce programme avait été décidé en janvier 2017 par François Hollande. Son successeur ainsi que son gouvernement ont dû revoir le projet sur le plan juridique : l’Arafer, le régulateur du transport routier, avait retoqué ce plan… Quoi qu’il en soit, il faudra bien le financer et une partie de l’argent nécessaire proviendra donc directement des poches des automobilistes. Les collectivités locales vont mettre la moitié des investissements, qui serviront à créer des échangeurs, des aires de covoiturage et préserver le milieu naturel.
Le gouvernement décidera du niveau de l’inflation, à laquelle les gestionnaires d’autoroutes pourront ajouter jusqu’à 0,22%. Le Journal officiel a publié ce 7 novembre les avenants aux contrats de concession concernant ce dispositif : APRR et Areva d’un côté, ASF et Escota, propriété de Vinci, de l’autre. Vinci et sa filiale Cofiroute engageront 381 millions de travaux, dont 150 financés par les collectivités locales, rappelle un responsable de l’entreprise au JDD.
Ce programme avait été décidé en janvier 2017 par François Hollande. Son successeur ainsi que son gouvernement ont dû revoir le projet sur le plan juridique : l’Arafer, le régulateur du transport routier, avait retoqué ce plan… Quoi qu’il en soit, il faudra bien le financer et une partie de l’argent nécessaire proviendra donc directement des poches des automobilistes. Les collectivités locales vont mettre la moitié des investissements, qui serviront à créer des échangeurs, des aires de covoiturage et préserver le milieu naturel.
Le gouvernement décidera du niveau de l’inflation, à laquelle les gestionnaires d’autoroutes pourront ajouter jusqu’à 0,22%. Le Journal officiel a publié ce 7 novembre les avenants aux contrats de concession concernant ce dispositif : APRR et Areva d’un côté, ASF et Escota, propriété de Vinci, de l’autre. Vinci et sa filiale Cofiroute engageront 381 millions de travaux, dont 150 financés par les collectivités locales, rappelle un responsable de l’entreprise au JDD.