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Bouygues Telecom, qui part déjà en meilleure position que son concurrent Numericable pour le rachat de SFR ayant obtenu le consensus de nombreuses personnalités du gouvernement dont Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, a signé le 9 mars 2014 un accord de principe avec Free. Dans ce dernier, Bouygues céderait ses fréquences et son équipement à l’opérateur de Xavier Niel, rendant donc possible la fusion avec SFR qui se serait heurtée à un veto de l’autorité de la concurrence.
Grâce à cet accord, Bouygues Telecom a pu relever son offre sur SFR et propose désormais à Vivendi 11,3 milliards d’euros en numéraire (soit une hausse de 800 millions d’euros par rapport à l’offre précédente) et 43% du capital du nouvel ensemble qui se formerait et qui serait le premier opérateur mobile de France. La somme des abonnés de Bouygues Telecom et de SFR dépasse en effet le nombre de ceux de l’opérateur historique Orange.
Au total, la nouvelle offre, selon le communiqué de presse de Bouygues Telecom, valorise SFR à 15,5 milliards d’euros pré-synergies et 20 milliards d’euros avec les synergies. De plus, ainsi faisant, Bouygues Telecom détiendrait 52% du capital du nouveau groupe contre 49% de l’offre précédente.
Pour finir de convaincre Vivendi, Bouygues Telecom s’engage également à faire entrer en Bourse le nouveau groupe ainsi formé « dès la réalisation de la fusion » ce qui devrait permettre « une liquidité immédiate à Vivendi ».
De son côté, Numericable maintient son offre sur SFR en l’état.
Grâce à cet accord, Bouygues Telecom a pu relever son offre sur SFR et propose désormais à Vivendi 11,3 milliards d’euros en numéraire (soit une hausse de 800 millions d’euros par rapport à l’offre précédente) et 43% du capital du nouvel ensemble qui se formerait et qui serait le premier opérateur mobile de France. La somme des abonnés de Bouygues Telecom et de SFR dépasse en effet le nombre de ceux de l’opérateur historique Orange.
Au total, la nouvelle offre, selon le communiqué de presse de Bouygues Telecom, valorise SFR à 15,5 milliards d’euros pré-synergies et 20 milliards d’euros avec les synergies. De plus, ainsi faisant, Bouygues Telecom détiendrait 52% du capital du nouveau groupe contre 49% de l’offre précédente.
Pour finir de convaincre Vivendi, Bouygues Telecom s’engage également à faire entrer en Bourse le nouveau groupe ainsi formé « dès la réalisation de la fusion » ce qui devrait permettre « une liquidité immédiate à Vivendi ».
De son côté, Numericable maintient son offre sur SFR en l’état.