David Davis, ministre du Brexit de Theresa May, a rencontré ce mardi 22 novembre des députés européens, dont Guy Verhofstadt, nommé référent Brexit pour le Parlement de Strasbourg. Le gouvernement anglais activera l’article 50 du traité de Lisbonne en mars, ce qui ouvrira les négociations officielles entre les deux parties.
L’objectif est de parvenir à terminer les négociations du processus de divorce « avant les prochaines élections européennes », qui se tiendront en mai ou en juin 2019. Le Parlement européen devant voter en bout de course sur les termes du texte actant la séparation, cela laisse de 14 à 15 mois pour parvenir à un accord.
Les discussions devront donc se terminer avant la fin de l’année 2018 afin de laisser le temps au Parlement de se prononcer. La période de négociations s’annonce donc « très intense », a admis Guy Verhofstadt. Et le processus risque d’être tout aussi difficile, les Européens refusant de transiger sur les quatre libertés fondamentales de l’Union (circulation des personnes, des biens, des capitaux et des services).
L’objectif est de parvenir à terminer les négociations du processus de divorce « avant les prochaines élections européennes », qui se tiendront en mai ou en juin 2019. Le Parlement européen devant voter en bout de course sur les termes du texte actant la séparation, cela laisse de 14 à 15 mois pour parvenir à un accord.
Les discussions devront donc se terminer avant la fin de l’année 2018 afin de laisser le temps au Parlement de se prononcer. La période de négociations s’annonce donc « très intense », a admis Guy Verhofstadt. Et le processus risque d’être tout aussi difficile, les Européens refusant de transiger sur les quatre libertés fondamentales de l’Union (circulation des personnes, des biens, des capitaux et des services).