Rappel des Citroën équipés d’airbags Takata
Stellantis, confronté à un problème majeur avec les airbags de l'équipementier Takata, doit gérer une situation délicate. Les véhicules concernés, produits entre 2009 et 2019, incluent les Citroën C3, C4, et les DS3, DS4, DS5. Le défaut, provenant de la dégradation des composants de l'airbag en conditions de chaleur et d'humidité, rend nécessaire un rappel massif.
Ce dernier commence par les zones les plus à risque dans le sud, mais s'étendra à toute l'Europe. Les défis logistiques sont non négligeables, avec des courriers déjà envoyés par lots selon l'âge des véhicules, principalement sous une ligne imaginaire allant de Lyon à Clermont-Ferrand. Pour l'instant, le nord de cette ligne est également concerné, mais sans calendrier fixé pour les interventions.
Ce dernier commence par les zones les plus à risque dans le sud, mais s'étendra à toute l'Europe. Les défis logistiques sont non négligeables, avec des courriers déjà envoyés par lots selon l'âge des véhicules, principalement sous une ligne imaginaire allant de Lyon à Clermont-Ferrand. Pour l'instant, le nord de cette ligne est également concerné, mais sans calendrier fixé pour les interventions.
La procédure de rappel devrait coûter un milliard d’euros
Le vice-président en charge des rappels chez Stellantis, Stéphane Coquant, souligne la complexité de la situation, la qualifiant de la plus difficile à gérer jusqu'à présent. Une cellule de crise de 40 personnes est mobilisée pour coordonner les efforts à travers l'Europe, mais aussi sur d'autres continents.
Le groupe a dû provisionner près d'un milliard d'euros pour soutenir les opérations de rappel, montrant l'ampleur financière et logistique du défi. Malgré l'assurance donnée que les propriétaires peuvent continuer à utiliser leurs véhicules jusqu'à l'intervention, l'inquiétude demeure. De plus, d'autres marques du groupe Stellantis, comme Opel, sont également concernées, faisant craindre une extension encore plus large du problème.
Le groupe a dû provisionner près d'un milliard d'euros pour soutenir les opérations de rappel, montrant l'ampleur financière et logistique du défi. Malgré l'assurance donnée que les propriétaires peuvent continuer à utiliser leurs véhicules jusqu'à l'intervention, l'inquiétude demeure. De plus, d'autres marques du groupe Stellantis, comme Opel, sont également concernées, faisant craindre une extension encore plus large du problème.