Ces deux Mistral, commandés en 2011 par la Russie, devaient être livrés à Moscou l'an dernier, mais les événements en Ukraine et l'annexion de la Crimée par la Russie ont fini par empêcher Paris d'honorer son contrat. La France a dû négocier pied à pied pour s'entendre sur les dédommagements à verser au client russe. Finalement, la somme de 950 millions d'euros a été versée aux autorités russes.
Il restait les deux bâtiments, parfaitement fonctionnels, à vendre au plus offrant. Plusieurs pays étaient intéressés, mais c'est finalement l'Égypte qui remporte le morceau. L'Élysée a fait paraître un communiqué de presse, dans lequel on lit que « le président de la République s’est entretenu avec le président Abdel Fattah Al-Sissi. Ils se sont accordés sur le principe et les modalités de l’acquisition par l’Egypte des deux bâtiments de projection et de commandement de classe Mistral ».
Le montant de la transaction est inconnu, mais d'après la presse égyptienne, Le Caire a trouvé le tarif un peu élevé. Après quelques négociations, les deux parties ont trouvé un terrain d'entente. Pour Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, « il n'y a pas de perte financière sur la vente. Je vais réfuter totalement ce qui a été indiqué par certains qui consisterait à dire qu'il y aurait une perte par rapport à cet accord. Les choses sont négociées, elles seront précisées le moment venu ».
Il restait les deux bâtiments, parfaitement fonctionnels, à vendre au plus offrant. Plusieurs pays étaient intéressés, mais c'est finalement l'Égypte qui remporte le morceau. L'Élysée a fait paraître un communiqué de presse, dans lequel on lit que « le président de la République s’est entretenu avec le président Abdel Fattah Al-Sissi. Ils se sont accordés sur le principe et les modalités de l’acquisition par l’Egypte des deux bâtiments de projection et de commandement de classe Mistral ».
Le montant de la transaction est inconnu, mais d'après la presse égyptienne, Le Caire a trouvé le tarif un peu élevé. Après quelques négociations, les deux parties ont trouvé un terrain d'entente. Pour Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, « il n'y a pas de perte financière sur la vente. Je vais réfuter totalement ce qui a été indiqué par certains qui consisterait à dire qu'il y aurait une perte par rapport à cet accord. Les choses sont négociées, elles seront précisées le moment venu ».