Transactions immobilières : des hausses sur tous les fronts
Selon les auteurs de l’étude, cette contraction de l’offre est la conséquence de deux facteurs : d’une part, les transactions connaissent une forte progression, ce qui fait que l’offre se raréfie, d’autre part nombre de vendeurs sont devenus attentistes et retardent la mise en vente de leurs biens. Ces derniers voient la hausse actuelle des prix d’un bon œil et estiment que le temps pourrait jouer davantage en leur faveur. Quant à ceux qui doivent absolument déménager, ils s’assurent désormais de trouver leur futur logement avant de mettre le leur en vente.
Le volume des transactions atteint un niveau inédit en 2017, avec une hausse de 14 % au niveau national. En régions, les grandes métropoles et les villes moyennes voient leurs volumes de transactions progresser de 14,5 %. Dans les zones moins urbanisées, la croissance, certes moins dynamique, est tirée par les maisons individuelles et les terrains à bâtir.
Le volume des transactions atteint un niveau inédit en 2017, avec une hausse de 14 % au niveau national. En régions, les grandes métropoles et les villes moyennes voient leurs volumes de transactions progresser de 14,5 %. Dans les zones moins urbanisées, la croissance, certes moins dynamique, est tirée par les maisons individuelles et les terrains à bâtir.
L’Ile-de-France conserve son dynamisme
Paris confirme la dynamique engagée en 2016 avec une progression du volume de transactions légèrement au-dessus de la moyenne nationale (15 %), même si cette augmentation est freinée par une offre raréfiée. Selon les spécialistes de Laforêt, en Ile-de-France un bien « en bon état et sans grand défaut » se vend en quelques semaines.
En 2017, la première couronne affiche une progression de 12,5 %. La seconde couronne est encore plus dynamique, affichant une croissance des transactions de 14,5%, grâce à une offre beaucoup plus variée (appartements, maisons, terrains à bâtir) ainsi qu’à des prix bien plus accessibles. Les investisseurs, notamment, sont intéressés par ces territoires, où les loyers n’ont pas été encadrés et qui sont dynamisés par l’effet Grand Paris, en particulier autour des lieux de desserte du futur Grand Paris Express, comme Saint-Ouen, Villejuif ou Cachan.)
En 2017, la première couronne affiche une progression de 12,5 %. La seconde couronne est encore plus dynamique, affichant une croissance des transactions de 14,5%, grâce à une offre beaucoup plus variée (appartements, maisons, terrains à bâtir) ainsi qu’à des prix bien plus accessibles. Les investisseurs, notamment, sont intéressés par ces territoires, où les loyers n’ont pas été encadrés et qui sont dynamisés par l’effet Grand Paris, en particulier autour des lieux de desserte du futur Grand Paris Express, comme Saint-Ouen, Villejuif ou Cachan.)