Et la BCE compte bien employer toutes les armes à sa disposition pour relancer la machine des prix dans la zone euro. Le gouverneurs des Banques centrales vont se réunir ce jeudi 10 mars pour réexaminer la situation économique au sein des 19 États membres. Celle-ci n'est pas brillante.
La croissance est moins forte qu'espérée, la hausse des prix fraie en territoire négatif… Un cocktail amer qui va pousser Mario Draghi, le président de la BCE, à relâcher encore un peu plus la bride sur le programme d'assouplissement monétaire déjà en œuvre, et qui engloutit chaque mois 60 milliards d'euros en rachat d'actifs.
L'institution devrait rallonger encore la sauce, avec de 10 à 15 milliards supplémentaires chaque mois. Le taux de dépôt sur les liquidités pourrait aussi progresser, en passant de -0,3% à -0,4%, histoire de pousser les banques à prêter leur argent aux entreprises plutôt qu'à le thésauriser dans les coffres de la BCE. En tout, la BCE pourrait mettre sur la table plus de 2 000 milliards d'euros pour relancer les prix.
La croissance est moins forte qu'espérée, la hausse des prix fraie en territoire négatif… Un cocktail amer qui va pousser Mario Draghi, le président de la BCE, à relâcher encore un peu plus la bride sur le programme d'assouplissement monétaire déjà en œuvre, et qui engloutit chaque mois 60 milliards d'euros en rachat d'actifs.
L'institution devrait rallonger encore la sauce, avec de 10 à 15 milliards supplémentaires chaque mois. Le taux de dépôt sur les liquidités pourrait aussi progresser, en passant de -0,3% à -0,4%, histoire de pousser les banques à prêter leur argent aux entreprises plutôt qu'à le thésauriser dans les coffres de la BCE. En tout, la BCE pourrait mettre sur la table plus de 2 000 milliards d'euros pour relancer les prix.