Le gouvernement a prévu 2,7% de déficit pour l'année 2017. Un objectif qui parait difficile à atteindre pour la Cour des comptes. Son Premier président, Didier Migaud, n'a pas mâché ses mots lors de la présentation à la presse du rapport sur les perspectives des Finances publiques : « L’atteinte de l’objectif 2017 fixé par le gouvernement est très incertaine et le respect de la trajectoire 2017-2019 des finances publiques peu réaliste ».
Le gouvernement doit donc éteindre ce nouveau feu, et c'est Christian Eckert le secrétaire d'État au Budget, qui a joué le rôle de pompier à l'Assemblée nationale. L’objectif de 2,7 % fin 2017 sera maintenu, a-t-il assuré. On joue donc la carte de l'assurance du côté de l'exécutif, comme l'a montré également François Hollande depuis Bruxelles.
« Si la croissance était ce que l’on pense pouvoir estimer aujourd’hui à 1,7 % l’année prochaine, et si nous continuons nos efforts en matière de maîtrise de la dépense et si nous étions extrêmement vigilants sur l’exécution de notre budget, nous devrions atteindre ce résultat », a déclaré le Président de la République. Ce dernier n'a pas manqué de plaisanter sur la méfiance de la Cour des comptes, dont il a été membre un temps.
Le gouvernement doit donc éteindre ce nouveau feu, et c'est Christian Eckert le secrétaire d'État au Budget, qui a joué le rôle de pompier à l'Assemblée nationale. L’objectif de 2,7 % fin 2017 sera maintenu, a-t-il assuré. On joue donc la carte de l'assurance du côté de l'exécutif, comme l'a montré également François Hollande depuis Bruxelles.
« Si la croissance était ce que l’on pense pouvoir estimer aujourd’hui à 1,7 % l’année prochaine, et si nous continuons nos efforts en matière de maîtrise de la dépense et si nous étions extrêmement vigilants sur l’exécution de notre budget, nous devrions atteindre ce résultat », a déclaré le Président de la République. Ce dernier n'a pas manqué de plaisanter sur la méfiance de la Cour des comptes, dont il a été membre un temps.