Avec cette lettre, Theresa May a lancé officiellement le Brexit qui n’aura toutefois pas lieu en réalité avant 2019 au mieux : le traité de Lisbonne qui contient l’article 50 régissant les règles de sortie d’un pays de l’UE prévoit un minimum de deux ans de discussions. Mais jamais, auparavant, un pays n’avait invoqué cet article donc personne ne sait en réalité le temps qu’il faudra réellement pour tout décider.
Les discussions vont donc être lancées entre le Royaume-Uni et l’Union Européenne sur toutes les questions les pus complexes, des droits des citoyens européens au Royaume-Uni et Britanniques dans l’UE, aux relations commerciales ou encore financières.
Les conflits s’annoncent nombreux et variés : outre la réticence de certains pays de l’Union Européenne à faire des faveurs au Royaume-Uni, ce dernier devra faire face à une tentative d’indépendance de l’Ecosse : les citoyens écossais ont voté en grande majorité pour un maintien dans l’Union Européenne et ont déjà déclaré leur intention de demander un référendum sur leur indépendance afin de ne pas avoir à sortir de l’Union Européenne.
Londres va également devoir faire face au départ de nombreuses entreprises : l’assureur Lloyd a déjà annoncé son intention de migrer une partie de ses activités à Bruxelles, en Belgique, tandis que de nombreux salariés de la City risque d’être contraints de partir ou de vouloir partir pour revenir dans l’Union Européenne et profiter des avantages qu’elle accorde à ses ressortissants, notamment en termes de libre circulation des personnes et des capitaux.
Les discussions vont donc être lancées entre le Royaume-Uni et l’Union Européenne sur toutes les questions les pus complexes, des droits des citoyens européens au Royaume-Uni et Britanniques dans l’UE, aux relations commerciales ou encore financières.
Les conflits s’annoncent nombreux et variés : outre la réticence de certains pays de l’Union Européenne à faire des faveurs au Royaume-Uni, ce dernier devra faire face à une tentative d’indépendance de l’Ecosse : les citoyens écossais ont voté en grande majorité pour un maintien dans l’Union Européenne et ont déjà déclaré leur intention de demander un référendum sur leur indépendance afin de ne pas avoir à sortir de l’Union Européenne.
Londres va également devoir faire face au départ de nombreuses entreprises : l’assureur Lloyd a déjà annoncé son intention de migrer une partie de ses activités à Bruxelles, en Belgique, tandis que de nombreux salariés de la City risque d’être contraints de partir ou de vouloir partir pour revenir dans l’Union Européenne et profiter des avantages qu’elle accorde à ses ressortissants, notamment en termes de libre circulation des personnes et des capitaux.