Le PTZ prolongé aux mêmes conditions jusqu’à fin 2023
Gros soulagement pour les candidats à l’accession à la propriété. Le Prêt à taux zéro (PTZ) ne s’arrêtera pas en 2022, il pourra être souscrit jusqu’à fin 2023 au moins. L’annonce de cette prolongation a été faite par Emmanuelle Wargon, la ministre déléguée chargée du Logement, le 7 octobre 2021 sur BFM Business.
Comme l’a expliqué la ministre, ses services trouvent compliquée à mettre en place la réforme de la « contemporisation » des revenus des candidats à la souscription PTZ, pour cette raison cette réforme prendra du temps et ne sera pas effective en 2022. La décision a donc été prise de prolonger le PTZ jusqu’à fin 2023 au moins.
Comme l’a expliqué la ministre, ses services trouvent compliquée à mettre en place la réforme de la « contemporisation » des revenus des candidats à la souscription PTZ, pour cette raison cette réforme prendra du temps et ne sera pas effective en 2022. La décision a donc été prise de prolonger le PTZ jusqu’à fin 2023 au moins.
PTZ : pour le moment, ce sont toujours les revenus de l’année N-2 qui seront pris en compte
Pour rappel, le PTZ bénéficie aux personnes qui n’ont pas été propriétaires de leur logement au cours des deux années précédentes et sert à financer l’achat de la résidence principale. Il est principalement destiné à l’achat de logements neufs. Le prêt peut couvrir jusqu’à 40% du coût total de l'opération dans les zones les plus tendues. Dans les zones B2 et C, il peut couvrir 20% du total. Dan le cas de l’achat d’un logement ancien, il peut être utilisé uniquement si le logement nécessite de lourds travaux, toujours dans les zones B2 et C.
Sachez aussi que le délai de 2 ans n’est pas exigé si le candidat à sa souscription est handicapé, victime de catastrophe naturelle ou technologique, nu-propriétaire ou usufruitier. Jusqu’à ce que la réforme soit mise en place, ce sont les revenus de l’année N-2 qui sont pris en compte, ils ne doivent pas dépasser les plafonds défini chaque année par décret.
Sachez aussi que le délai de 2 ans n’est pas exigé si le candidat à sa souscription est handicapé, victime de catastrophe naturelle ou technologique, nu-propriétaire ou usufruitier. Jusqu’à ce que la réforme soit mise en place, ce sont les revenus de l’année N-2 qui sont pris en compte, ils ne doivent pas dépasser les plafonds défini chaque année par décret.