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Les demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A (sans aucune activité) ont ainsi augmenté de 0,5%, soit 16 200 personnes (+5% en un an). Cela porte le décompte pour la France métropolitaine à 3 552 200 personnes au chômage. Si on y ajoute les inscrits dans les catégories B et C, on atteint les 69 600 inscrits pour un total de 5 414 200 personnes sans emploi.
Or, s’il y a bel et bien eu une hausse du chômage en mai, elle n’a sans doute pas été aussi vertigineuse. Car la statistique mensuelle des demandeurs d’emplois a été « affectée » le mois dernier par un événement inattendu, explique le ministère du Travail : « La forte baisse inexpliquée du nombre des demandeurs d’emploi actualisés suivie, après relances multiples, d’une hausse d’une ampleur exceptionnelle ».
De fait, il en a résulté une une chute des sorties de Pôle Emploi pour défauts d’actualisation qui rend les données non comparables aux mois précédents… et donc non interprétables. De fait, le ministère s’attendait de 7 000 à 10 000 inscrits de catégorie A en plus, et entre 32 000 à 42 000 supplémentaires avec les catégories B et C.
Or, s’il y a bel et bien eu une hausse du chômage en mai, elle n’a sans doute pas été aussi vertigineuse. Car la statistique mensuelle des demandeurs d’emplois a été « affectée » le mois dernier par un événement inattendu, explique le ministère du Travail : « La forte baisse inexpliquée du nombre des demandeurs d’emploi actualisés suivie, après relances multiples, d’une hausse d’une ampleur exceptionnelle ».
De fait, il en a résulté une une chute des sorties de Pôle Emploi pour défauts d’actualisation qui rend les données non comparables aux mois précédents… et donc non interprétables. De fait, le ministère s’attendait de 7 000 à 10 000 inscrits de catégorie A en plus, et entre 32 000 à 42 000 supplémentaires avec les catégories B et C.