Les statistiques des Douanes pour le mois de mars montrent un creusement du déficit commercial de la France. Il s’établit, pour le seul mois de mars, à 5,32 milliards d’euros. En février, il s’établissait à 4,1 milliard (un chiffre revu à la hausse après une première estimation à 4 milliards) : on assiste donc à une accélération du déficit des échanges entre l’Hexagone et le reste du monde. Au premier trimestre, la balance commerciale tricolore accusait un déficit de 13,7 milliards d’euros. Petite consolation, c’est moins qu’au même trimestre de l’an dernier, où le déficit pointait à 14,7 milliards.
Au mois de mars, la France a creusé l’écart entre les importations et les exportations. En janvier, les importations avaient progressé de 0,3%, puis de 0,5% en février. Mais en mars, elles ont bondi de 3,6% ; en tout, les importations ont représenté 48,5 milliards, un chiffre en progression de 1,7 milliard par rapport au mois précédent. Quant aux exportations, leur hausse s’est limitée à 0,5%, à 43,2 milliards d’euros.
Si la France essuie une hausse importante de son déficit commercial, c’est notamment en raison de la facture énergétique. Les achats d’hydrocarbures ont lourdement pesé en mars, avec un déficit énergétique en hausse de 1,2 milliard d’euros. Les importations de produits manufacturés ont provoqué une hausse du déficit commercial de 4,1 milliards d’euros, contre 3,7 milliards en février. Satisfecit par contre pour les livraisons d’Airbus, qui ont représenté 3 milliards d’euros en positif au mois de mars (1,95 milliard en février).
Au mois de mars, la France a creusé l’écart entre les importations et les exportations. En janvier, les importations avaient progressé de 0,3%, puis de 0,5% en février. Mais en mars, elles ont bondi de 3,6% ; en tout, les importations ont représenté 48,5 milliards, un chiffre en progression de 1,7 milliard par rapport au mois précédent. Quant aux exportations, leur hausse s’est limitée à 0,5%, à 43,2 milliards d’euros.
Si la France essuie une hausse importante de son déficit commercial, c’est notamment en raison de la facture énergétique. Les achats d’hydrocarbures ont lourdement pesé en mars, avec un déficit énergétique en hausse de 1,2 milliard d’euros. Les importations de produits manufacturés ont provoqué une hausse du déficit commercial de 4,1 milliards d’euros, contre 3,7 milliards en février. Satisfecit par contre pour les livraisons d’Airbus, qui ont représenté 3 milliards d’euros en positif au mois de mars (1,95 milliard en février).