Le cours du baril WTI lâchait ainsi 5 cents à 43,03 $. Celui du baril de Brent a lui reculé plus fortement encore : le baromètre de référence pour l’Europe a en effet cédé 35 cents, à 48,83 $. La Chine est au centre des préoccupations des investisseurs, qui regardent avec crainte les efforts de Pékin pour relancer ses exportations, premier effet d’une dévaluation.
Si la Chine cherche à relancer son économie en dévaluant sa monnaie, c’est qu’il y a anguille sous roche, se dit-on dans les salles de marché. La Chine, deuxième économie mondiale, est surtout le premier consommateur d’énergie au monde. Si le pays devait s’enrhumer, les secousses seraient très importantes pour les économies de tous les pays.
De plus, la production de pétrole est actuellement abondante, alors que la demande est stable ou vacille. L’Opep, toujours en guerre économique contre le pétrole de schiste aux États-Unis, est toujours en surcapacité au-delà des 30 millions de barils par jour, tandis que l’Iran devrait rapidement rejoindre la cohorte des pays producteurs de pétrole suite à la levée des sanctions imposées jusqu’à présent à Téhéran.
Tout cela est néanmoins une bonne nouvelle pour l’automobiliste et l’industrie, gros consommateurs de pétrole : avec des prix du brut en baisse, c’est la facture qui continue de s’alléger.
Si la Chine cherche à relancer son économie en dévaluant sa monnaie, c’est qu’il y a anguille sous roche, se dit-on dans les salles de marché. La Chine, deuxième économie mondiale, est surtout le premier consommateur d’énergie au monde. Si le pays devait s’enrhumer, les secousses seraient très importantes pour les économies de tous les pays.
De plus, la production de pétrole est actuellement abondante, alors que la demande est stable ou vacille. L’Opep, toujours en guerre économique contre le pétrole de schiste aux États-Unis, est toujours en surcapacité au-delà des 30 millions de barils par jour, tandis que l’Iran devrait rapidement rejoindre la cohorte des pays producteurs de pétrole suite à la levée des sanctions imposées jusqu’à présent à Téhéran.
Tout cela est néanmoins une bonne nouvelle pour l’automobiliste et l’industrie, gros consommateurs de pétrole : avec des prix du brut en baisse, c’est la facture qui continue de s’alléger.