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Jusqu’à présent, les titres de la Bourse de Shanghai n’étaient pas ouverts aux investisseurs de Hong-Kong et vice-versa. Ce temps semble révolu à la suite de l’accord, signé ce jeudi 10 avril 2014, entre les deux régulateurs boursiers.
Les investisseurs chinois auront la possibilité d’investir à Hong-Kong tandis que les hongkongais en Chine dans un objectif simple : attirer, en Chine, de nouveaux capitaux alors que le pays connaît une forte croissance mais légèrement freinée par rapport aux attentes du gouvernement.
Toutefois, les possibilités restent encore limitées. Selon le communiqué des régulateurs des deux Bourses, seuls quelques titres très importants et les entreprises ayant une double cotation en Bourse dans les deux places boursières sont concernées. Mais il s’agit déjà d’une première étape vers une possible libéralisation totale.
Il reste néanmoins des inconnues dans ce nouvel accord. Non seulement le lancement de ces nouvelles opportunités d’investissement ne se fera qu’après une phase de test de six mois, mais les transactions n’ont pas encore été définies de manière générale, notamment au niveau de la devise qui sera utilisée et qui pourrait être uniquement le yuan, la monnaie chinoise.
Les investisseurs de Hong Kong ne pourront, par exemple, qu’investir pour un maximum de 35 milliards d’euros à hauteur de 1,5 milliard d’euros par séance boursière. Les investissements chinois à Hong Kong devraient avoir un plafond légèrement inférieur.
Les investisseurs chinois auront la possibilité d’investir à Hong-Kong tandis que les hongkongais en Chine dans un objectif simple : attirer, en Chine, de nouveaux capitaux alors que le pays connaît une forte croissance mais légèrement freinée par rapport aux attentes du gouvernement.
Toutefois, les possibilités restent encore limitées. Selon le communiqué des régulateurs des deux Bourses, seuls quelques titres très importants et les entreprises ayant une double cotation en Bourse dans les deux places boursières sont concernées. Mais il s’agit déjà d’une première étape vers une possible libéralisation totale.
Il reste néanmoins des inconnues dans ce nouvel accord. Non seulement le lancement de ces nouvelles opportunités d’investissement ne se fera qu’après une phase de test de six mois, mais les transactions n’ont pas encore été définies de manière générale, notamment au niveau de la devise qui sera utilisée et qui pourrait être uniquement le yuan, la monnaie chinoise.
Les investisseurs de Hong Kong ne pourront, par exemple, qu’investir pour un maximum de 35 milliards d’euros à hauteur de 1,5 milliard d’euros par séance boursière. Les investissements chinois à Hong Kong devraient avoir un plafond légèrement inférieur.