L’enquête annuelle de l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne a donné ses premiers résultats provisoires pour l’année 2016. Le saut des prix à la relocation a été somme toute modérée à Paris puisqu’il s’établi à 1,2%. L’année précédente, la hausse avait été de 1%. Cela reste bien plus élevé qu’en Ile-de-France, où la progression est de 0,4%, avec des variations importantes entre la petite et la grande couronne.
Dans la petite couronne, les prix à la relocation ont effet augmenté très modérément (+0,2%), tandis que dans la grande couronne ils ont tout simplement baissé de manière sensible (-0,6%). À Paris intra-muros, le prix du mètre carré à la relocation a été de 24,90 euros, c’est 10 centimes de plus seulement qu’en 2015. Sur l’ensemble de l’agglomération parisienne, il faut compter 19,40 euros du mètre carré, un chiffre stable note l’Observatoire.
Si l’impact de l’encadrement des loyers instauré par la loi Alur, en vigueur depuis 2015, reste difficile à mesurer, cette modération dans la hausse des prix à la relocation est sans aucun doute à mettre au crédit des décrets qui, chaque été depuis 2012, limitent la progression des loyers entre deux locataires. L’Olap relève toutefois une « persistante de la tension » locative à Paris.
Dans la petite couronne, les prix à la relocation ont effet augmenté très modérément (+0,2%), tandis que dans la grande couronne ils ont tout simplement baissé de manière sensible (-0,6%). À Paris intra-muros, le prix du mètre carré à la relocation a été de 24,90 euros, c’est 10 centimes de plus seulement qu’en 2015. Sur l’ensemble de l’agglomération parisienne, il faut compter 19,40 euros du mètre carré, un chiffre stable note l’Observatoire.
Si l’impact de l’encadrement des loyers instauré par la loi Alur, en vigueur depuis 2015, reste difficile à mesurer, cette modération dans la hausse des prix à la relocation est sans aucun doute à mettre au crédit des décrets qui, chaque été depuis 2012, limitent la progression des loyers entre deux locataires. L’Olap relève toutefois une « persistante de la tension » locative à Paris.