Paris, Bourg Saint Maurice et Paris Albi, Paris Nice, et Paris Irun, en Espagne, Strasbourg Nice et Strasbourg Portbou, toujours en Espagne, , c’est bientôt terminé.
L’Etat espérait trouver un repreneur privé pour ces trains qui traversent à petite vitesse la France pendant la nuit, en s’arrêtant quasiment dans toutes les grandes villes qu’ils traversent. Sans succès pour l’instant.
Le contraire eut été étonnant : ces lignes sont structurellement déficitaires : elles perdent près de 100 millions d’euros par an, alors qu’elles transportent 3 % des passagers des lignes interrégionales.
Chaque passager d’un train de nuit, bien qu’il paye son billet, coûte 100 euros de plus en subventions publiques a rappelé Alain Vidalès, le sécrétait d'Etat aux transports.
Les 23 liaisons interrégionales de jour, les intercités, sont eux aussi déficitaires, à hauteur de 300 millions d’euros, pour 100 000 voyageurs transportés par jour. Ces 300 millions d’euros sont pris en charge en partie par l’Etat depuis 2010, ainsi que par les régions que ces trains traversent.
La crise des trains de nuit n’est en fait qu’un révélateur des difficultés grandissantes de la SNCF. Le transport de fret ferroviaire français est mourant, depuis des années, le réseau a besoin de gros travaux de remise en état, alors que la dette de la SNCF dépasse 44 milliards d'euros.
Seules deux lignes de nuit, Paris Briancon, et Paris Latour de Carol vont survivre. Pour l'instant.
L’Etat espérait trouver un repreneur privé pour ces trains qui traversent à petite vitesse la France pendant la nuit, en s’arrêtant quasiment dans toutes les grandes villes qu’ils traversent. Sans succès pour l’instant.
Le contraire eut été étonnant : ces lignes sont structurellement déficitaires : elles perdent près de 100 millions d’euros par an, alors qu’elles transportent 3 % des passagers des lignes interrégionales.
Chaque passager d’un train de nuit, bien qu’il paye son billet, coûte 100 euros de plus en subventions publiques a rappelé Alain Vidalès, le sécrétait d'Etat aux transports.
Les 23 liaisons interrégionales de jour, les intercités, sont eux aussi déficitaires, à hauteur de 300 millions d’euros, pour 100 000 voyageurs transportés par jour. Ces 300 millions d’euros sont pris en charge en partie par l’Etat depuis 2010, ainsi que par les régions que ces trains traversent.
La crise des trains de nuit n’est en fait qu’un révélateur des difficultés grandissantes de la SNCF. Le transport de fret ferroviaire français est mourant, depuis des années, le réseau a besoin de gros travaux de remise en état, alors que la dette de la SNCF dépasse 44 milliards d'euros.
Seules deux lignes de nuit, Paris Briancon, et Paris Latour de Carol vont survivre. Pour l'instant.