L'intersyndicale française confirme la suppression de 400 postes. En Finlande, Nokia s'apprêterait à faire disparaitre 1 300 emplois, ce qui représente 20% des effectifs du groupe dans le pays. En Europe, les syndicats estiment que Nokia a l'intention de détruire 4 300 postes. Et l'entreprise a l'intention de frapper dans une trentaine de pays.
« Les réductions d'effectifs interviendront pour une large part dans des secteurs où existent des doublons, comme la recherche et le développement, les structures régionales et les services de vente de même que les fonctions d'encadrement », explique la société. En France, ce sont les sites de Boulogne (Alcatel-Lucent) et d'Asnières (où Nokia France a son siège) qui seraient particulièrement visés.
Néanmoins, ces 400 suppressions de postes seraient compensées par la création de 337 emplois en recherche & développement. Et Nokia s'est engagé dans la création totale de 500 postes lors de l'acquisition d'Alcatel-Lucent. Le groupe va aussi maintenir à leurs postes 4 200 salariés pendant au moins deux ans.
« Les réductions d'effectifs interviendront pour une large part dans des secteurs où existent des doublons, comme la recherche et le développement, les structures régionales et les services de vente de même que les fonctions d'encadrement », explique la société. En France, ce sont les sites de Boulogne (Alcatel-Lucent) et d'Asnières (où Nokia France a son siège) qui seraient particulièrement visés.
Néanmoins, ces 400 suppressions de postes seraient compensées par la création de 337 emplois en recherche & développement. Et Nokia s'est engagé dans la création totale de 500 postes lors de l'acquisition d'Alcatel-Lucent. Le groupe va aussi maintenir à leurs postes 4 200 salariés pendant au moins deux ans.