Les trottinettes, scooters et autres vélos que les Parisiens peuvent emprunter quand ils le souhaitent depuis n’importe où ne font pas les affaires de la mairie de Paris. Lors d’une conférence de presse, le premier adjoint Emmanuel Grégoire a annoncé la mise en place d’une redevance sur ces petits véhicules, avec l’objectif affiché de multiplier les zones de stationnement. Pas question pour l’édile d’attendre la loi d’orientation sur les mobilités (LOM), qui a pris du retard dans son élaboration et sa présentation.
La mairie de Paris a donc décidé la mise en œuvre d’une « redevance de free-floating », une pratique qui recouvre les véhicules en le libre service sans station d’attache. Elle concernera l’ensemble des opérateurs qui viendront s’installer dans la capitale. Christophe Najdovski, adjoint aux Transports et à l'Espace public, a expliqué que la contribution « servira notamment à réaliser des emplacements de stationnement » ; à terme, les vélos et autres trottinettes devront se garer sur ces zones dédiées « obligatoires ».
Les véhicules garés en dehors de ces emplacements pourront ainsi être verbalisés. L’adjoint à l’Urbanisme, Jean-Louis Missika, a précisé que la mairie proposera 2 500 emplacements, « la plupart dans les interstices des arbres ». Ils seront installés tous les 150 mètres, ce qui représente une minute et demie à pied. La mairie veut aller vite : cette redevance doit être effective d’ici la fin du mois d’avril, après le prochain Conseil de Paris qui se tiendra au début du mois prochain.
La mairie de Paris a donc décidé la mise en œuvre d’une « redevance de free-floating », une pratique qui recouvre les véhicules en le libre service sans station d’attache. Elle concernera l’ensemble des opérateurs qui viendront s’installer dans la capitale. Christophe Najdovski, adjoint aux Transports et à l'Espace public, a expliqué que la contribution « servira notamment à réaliser des emplacements de stationnement » ; à terme, les vélos et autres trottinettes devront se garer sur ces zones dédiées « obligatoires ».
Les véhicules garés en dehors de ces emplacements pourront ainsi être verbalisés. L’adjoint à l’Urbanisme, Jean-Louis Missika, a précisé que la mairie proposera 2 500 emplacements, « la plupart dans les interstices des arbres ». Ils seront installés tous les 150 mètres, ce qui représente une minute et demie à pied. La mairie veut aller vite : cette redevance doit être effective d’ici la fin du mois d’avril, après le prochain Conseil de Paris qui se tiendra au début du mois prochain.