L’Occitanie et l’Auvergne-Rhône-Alpes enregistrent des accroissements très forts de leur population
En Ile-de-France, la population a augmenté d’environ 59 000 habitants par an, soit une croissance annuelle moyenne de 0,5 %, semblable à celle de la France métropolitaine. La croissance démographique francilienne reste exclusivement due à l’excédent des naissances sur les décès. La population augmente dans tous les départements de la région, hormis Paris où le déficit migratoire se creuse.
L’Auvergne-Rhône-Alpes devient la deuxième région la plus peuplée de France après l’Ile-de-France (7 877 700 habitants, soit 12,3 % de la population métropolitaine). La croissance annuelle moyenne s’établit à 0,8 %. La Métropole de Lyon est la troisième métropole la plus peuplée de France derrière celles du Grand Paris et d’Aix-Marseille-Provence (+1,1 % par an entre 2010 et 2015).
L’Occitanie se distingue également par une dynamique particulièrement forte (+ 0,9 % par an). Autre particularité de cette région : le moteur essentiel de cette croissance démographique est l’excédent migratoire, le solde naturel n’y contribuant qu’à hauteur de 0,2 %. Le littoral et les zones urbaines sont les territoires les plus dynamiques.
L’Auvergne-Rhône-Alpes devient la deuxième région la plus peuplée de France après l’Ile-de-France (7 877 700 habitants, soit 12,3 % de la population métropolitaine). La croissance annuelle moyenne s’établit à 0,8 %. La Métropole de Lyon est la troisième métropole la plus peuplée de France derrière celles du Grand Paris et d’Aix-Marseille-Provence (+1,1 % par an entre 2010 et 2015).
L’Occitanie se distingue également par une dynamique particulièrement forte (+ 0,9 % par an). Autre particularité de cette région : le moteur essentiel de cette croissance démographique est l’excédent migratoire, le solde naturel n’y contribuant qu’à hauteur de 0,2 %. Le littoral et les zones urbaines sont les territoires les plus dynamiques.
PACA compte 5 millions d’habitants, le Grand Est attire très peu
Autre région où l’accroissement de la population dépasse la moyenne nationale : la Bretagne (+0,59 % par an). L’excédent migratoire y explique les trois quarts de la croissance de la population tandis que le solde naturel s’affaiblit.
Provence-Alpes-Côte d'Azur vient de dépasser le seuil des cinq millions d'habitants, grâce à une augmentation moyenne de la population de 0,4 % chaque année. Profitant de l'installation de nouveaux habitants, le Var est le département le plus dynamique de la région.
Dans les Pays de la Loire, la Sarthe et la Mayenne enregistrent des départs tandis que l’accroissement de la population est fort en Loire-Atlantique et dans une partie de la Vendée.
Le Grand Est attire à peine, la progression de la population (très peu élevée) y étant due uniquement à l’excédent des naissances sur les décès.
Provence-Alpes-Côte d'Azur vient de dépasser le seuil des cinq millions d'habitants, grâce à une augmentation moyenne de la population de 0,4 % chaque année. Profitant de l'installation de nouveaux habitants, le Var est le département le plus dynamique de la région.
Dans les Pays de la Loire, la Sarthe et la Mayenne enregistrent des départs tandis que l’accroissement de la population est fort en Loire-Atlantique et dans une partie de la Vendée.
Le Grand Est attire à peine, la progression de la population (très peu élevée) y étant due uniquement à l’excédent des naissances sur les décès.