(c) Shutterstock/EconomieMatin
Débuté ce lundi 9 mars, le programme QE orchestré par la BCE consiste à acheter des actifs à hauteur de 50 milliards d’euros chaque mois, pour un total de 1 100 milliards. Le programme est censé s’arrêter en septembre 2016, mais il est possible qu’il se poursuive au-delà si le besoin s’en faisait toujours sentir.
Mais les premiers effets sont plutôt positifs. D’une part, l’euro est proche de la parité avec le dollar, ce qui permet aux entreprises européennes de gagner mécaniquement en compétitivité. D’autre part, les rendements des taux sur dix ans des pays membres sont en baisse sensible. Celui de la France est passé sous la barre des 0,5%. Il est de moins en moins cher pour l’Hexagone d’emprunter sur les marchés obligataires, une aubaine pour le pays et ses caisses qui crient toujours famine.
Il en va de même pour l’Allemagne, dont le Bund a atteint le plus bas historique de 0,223%. Il pourrait même approcher des 0% dans les jours qui viennent. Les pays périphériques profitent eux aussi de cette manne, comme l’Espagne (1,13%), le Portugal (1,61%) ou l’Italie (1,1%). Seule la Grèce reste à la remorque avec un taux à 10 ans qui dépasse les 9%.
Mais les premiers effets sont plutôt positifs. D’une part, l’euro est proche de la parité avec le dollar, ce qui permet aux entreprises européennes de gagner mécaniquement en compétitivité. D’autre part, les rendements des taux sur dix ans des pays membres sont en baisse sensible. Celui de la France est passé sous la barre des 0,5%. Il est de moins en moins cher pour l’Hexagone d’emprunter sur les marchés obligataires, une aubaine pour le pays et ses caisses qui crient toujours famine.
Il en va de même pour l’Allemagne, dont le Bund a atteint le plus bas historique de 0,223%. Il pourrait même approcher des 0% dans les jours qui viennent. Les pays périphériques profitent eux aussi de cette manne, comme l’Espagne (1,13%), le Portugal (1,61%) ou l’Italie (1,1%). Seule la Grèce reste à la remorque avec un taux à 10 ans qui dépasse les 9%.