© Shutterstock/EconomieMatin
BP a fait les comptes : l’an dernier, les États-Unis ont produit 11,64 millions de barils par jour, soit 1,6 million de plus qu’en 2013. Le pays passe devant l’Arabie Saoudite dont la production est restée stable (11,5 millions de barils/jour) d’une année sur l’autre. La Russie est troisième sur le podium avec 10,84 millions de barils/jour.
Cette première place dans le classement n’était plus arrivée aux États-Unis depuis 1975. Le pays a su profiter de l’exploitation du gaz et du pétrole de schiste, disponible en abondance dans ses sols… quitte à faire bien peu de cas des conséquences sanitaires et environnementales des techniques de fracturation hydraulique.
Le pays a réduit sa dépendance de 20% depuis 2010, au grand dam des pays de l’Opep qui se sont lancés depuis l’an dernier dans une course au prix bas. La surproduction mondiale a en effet réduit les prix de manière drastique : l’an dernier, le baril était à plus de 100$, il est de 60$ actuellement après avoir atteint un plus bas.
Cette première place dans le classement n’était plus arrivée aux États-Unis depuis 1975. Le pays a su profiter de l’exploitation du gaz et du pétrole de schiste, disponible en abondance dans ses sols… quitte à faire bien peu de cas des conséquences sanitaires et environnementales des techniques de fracturation hydraulique.
Le pays a réduit sa dépendance de 20% depuis 2010, au grand dam des pays de l’Opep qui se sont lancés depuis l’an dernier dans une course au prix bas. La surproduction mondiale a en effet réduit les prix de manière drastique : l’an dernier, le baril était à plus de 100$, il est de 60$ actuellement après avoir atteint un plus bas.