Le résultat, un an après sa prise de poste, est éclairant : la marge opérationnelle est passé à 63 millions d’euros alors qu’elle était dans le rouge de 1 milliard en 2013. Le résultat net est encore dans le négatif de 706 millions, mais c’est bien moins que les 2,13 milliards de 2013. Surtout, le flux de liquidités, qui visait l’équilibre jusqu’en 2016, est déjà largement excédentaire à 2,2 milliards.
De quoi voir l’avenir d’une bien meilleure façon donc, même si PSA Peugeot Citroën a bénéficié d’une conjoncture favorable avec les mesures de soutien à la compétitivité en France ou des ventes en Chine qui ont bondi de 30%. Mais cette bonne fortune est à mettre au crédit de Carlos Tavares, qui a appuyé sur plusieurs leviers pour relancer l’entreprise.
La concurrence a été instillé entre les différents sites du groupe afin d’obtenir les coûts de production les plus abordables. Ce n’est d’ailleurs pas sans provoquer parfois une certaine incompréhension chez les salariés. La rentabilité des véhicules doit également s’améliorer — la machine est bien enclenchée, le prix de revient de fabrication d’un véhicule ayant baissé de 730 euros. Le seuil à partir duquel l’entreprise devient rentable a baissé lui aussi, passant à 2,1 millions de véhicules, contre 2,1 millions l’an dernier.
L’entreprise est donc sur les bons rails pour son redressement.
De quoi voir l’avenir d’une bien meilleure façon donc, même si PSA Peugeot Citroën a bénéficié d’une conjoncture favorable avec les mesures de soutien à la compétitivité en France ou des ventes en Chine qui ont bondi de 30%. Mais cette bonne fortune est à mettre au crédit de Carlos Tavares, qui a appuyé sur plusieurs leviers pour relancer l’entreprise.
La concurrence a été instillé entre les différents sites du groupe afin d’obtenir les coûts de production les plus abordables. Ce n’est d’ailleurs pas sans provoquer parfois une certaine incompréhension chez les salariés. La rentabilité des véhicules doit également s’améliorer — la machine est bien enclenchée, le prix de revient de fabrication d’un véhicule ayant baissé de 730 euros. Le seuil à partir duquel l’entreprise devient rentable a baissé lui aussi, passant à 2,1 millions de véhicules, contre 2,1 millions l’an dernier.
L’entreprise est donc sur les bons rails pour son redressement.