Entre les mois d'avril et fin juin, le nombre de nuitées a progressé de 10,2% par rapport au deuxième trimestre 2016. L'Insee a enregistré 107,1 millions de nuitées durant la période ; le secteur touristique retrouve et même dépasse de 4% son niveau de 2015, d'avant les attentats qui ont endeuillé Paris à la fin de cette année. La reprise est sensible partout en France, mais tout particulièrement dans l'agglomération parisienne avec une hausse de 12,6% dans les hôtels et de 27,6% pour les autres types d'hébergement.
Les étoiles se sont bien alignées au deuxième trimestre, avec un mois d'avril « exceptionnel » en raison des vacances scolaires, souligne l'institut, ainsi que de très bonnes conditions météorologiques, notamment sur le littoral. La France est sur le bon chemin pour atteindre l'objectif des 100 millions de touristes en 2020. Toutefois, il convient de relativiser ces bons résultats. Selon le cabinet d'études Protourisme, la croissance du chiffre d'affaires pour les hôteliers s'est établie à seulement 3,5% durant les six premiers mois de l'année.
Les hôtels ont effectivement baissé le prix de leurs chambres, ce qui a pu pousser les touristes à rester plus longtemps et donc à augmenter de manière un peu artificielle le nombre de nuitées. Par ailleurs, le budget des touristes s'est contracté d'une centaine d'euros en moyenne ; ce sont les restaurateurs qui en souffrent le plus, Protourisme ayant mesuré un recul de 15 à 25% du chiffre d'affaires pour les restaurants sur le littoral languedocien et en atlantique.
Les étoiles se sont bien alignées au deuxième trimestre, avec un mois d'avril « exceptionnel » en raison des vacances scolaires, souligne l'institut, ainsi que de très bonnes conditions météorologiques, notamment sur le littoral. La France est sur le bon chemin pour atteindre l'objectif des 100 millions de touristes en 2020. Toutefois, il convient de relativiser ces bons résultats. Selon le cabinet d'études Protourisme, la croissance du chiffre d'affaires pour les hôteliers s'est établie à seulement 3,5% durant les six premiers mois de l'année.
Les hôtels ont effectivement baissé le prix de leurs chambres, ce qui a pu pousser les touristes à rester plus longtemps et donc à augmenter de manière un peu artificielle le nombre de nuitées. Par ailleurs, le budget des touristes s'est contracté d'une centaine d'euros en moyenne ; ce sont les restaurateurs qui en souffrent le plus, Protourisme ayant mesuré un recul de 15 à 25% du chiffre d'affaires pour les restaurants sur le littoral languedocien et en atlantique.