Mardi 19 janvier, la CFDT, LA CFTC et la CGC s'entendaient avec la direction de la Fnac sur les deux volets de l'accord. Le premier concerne l'ouverture des 12 dimanches, décidés par le maire, durant lesquels les salariés volontaires reçoivent une majorations de 100% de leur salaire avec un repos compensateur.
Le second volet était le plus disputé puisqu'il concerne l'ouverture des enseignes présentes dans les zones touristiques internationales 52 dimanches par an. Les employés qui désiraient travailler ces jours devaient recevoir une majoration de 200% de leur salaire (le triple, donc), pendant 12 dimanches, et de 100% pour les 40 dimanches suivants. Dans ce cadre, il n'y avait aucun repos compensateur de prévu.
Pour la CFDT, il s'agissait là d'un accord garantissant aux salariés le volontariat et la réversibilité du choix (ils pouvaient toujours refuser de travailler le dimanche après l'avoir accepté). Las, FO, la CGT et SUD — qui soit 50% de la représentativité syndicale au sein de l'entreprise — ont annoncé qu'ils ne signeraient rien. La CGT en fait même une affaire de principe : on ne travaille pas le dimanche. Dans ces conditions, on voit mal sur quelles bases l'enseigne — qui pourra ouvrir 12 dimanches selon les termes de la loi Macron — va revenir aux négociations…
Le second volet était le plus disputé puisqu'il concerne l'ouverture des enseignes présentes dans les zones touristiques internationales 52 dimanches par an. Les employés qui désiraient travailler ces jours devaient recevoir une majoration de 200% de leur salaire (le triple, donc), pendant 12 dimanches, et de 100% pour les 40 dimanches suivants. Dans ce cadre, il n'y avait aucun repos compensateur de prévu.
Pour la CFDT, il s'agissait là d'un accord garantissant aux salariés le volontariat et la réversibilité du choix (ils pouvaient toujours refuser de travailler le dimanche après l'avoir accepté). Las, FO, la CGT et SUD — qui soit 50% de la représentativité syndicale au sein de l'entreprise — ont annoncé qu'ils ne signeraient rien. La CGT en fait même une affaire de principe : on ne travaille pas le dimanche. Dans ces conditions, on voit mal sur quelles bases l'enseigne — qui pourra ouvrir 12 dimanches selon les termes de la loi Macron — va revenir aux négociations…