France Télévisions, Radio France, France Médias Monde (RFI, France 24, Monte Carlo Doualiya), et peut-être l'INA pourraient bien n'avoir plus qu'une présidence commune, selon des informations du Monde. Une seule personne donc à la tête de tout l'audiovisuel public dont toutes les entités ont, jusqu'à présent, leur propre président. La proposition de la ministre de la Culture attribuerait à chacune d'entre elles un directeur général. Des directeurs généraux sous le contrôle d'un « président non exécutif unique », détaille le quotidien.
La transformation en profondeur de l'audiovisuel public est en réflexion actuellement au gouvernement. Elle a été lancée par Emmanuel Macron, qui s'est récemment prononcé pour un changement « en concertation avec les personnels » dont les missions seront « clarifiées » : « Il y a une vocation de l‘audiovisuel public qu‘il faut défendre, donc il faut bien qualifier ce que sont les missions irréductibles de l‘audiovisuel public qui fait qu‘il n‘est pas fongible dans l‘offre d‘informations, de production culturelle, d‘animation », a expliqué le chef de l'État devant l'Association de la presse présidentielle.
Le président de la République souhaite redéfinir « clairement » les finalités, les moyens et la gouvernance du service public de l'audiovisuel, « qu‘on assure l‘indépendance des contenus, leur pluralisme, leur exigence, la vocation même de ce qu‘est l‘audiovisuel public et qu‘on le fasse de manière très apaisée ». Les arbitrages sur la gouvernance de l'audiovisuel public seront rendus fin mars.
La transformation en profondeur de l'audiovisuel public est en réflexion actuellement au gouvernement. Elle a été lancée par Emmanuel Macron, qui s'est récemment prononcé pour un changement « en concertation avec les personnels » dont les missions seront « clarifiées » : « Il y a une vocation de l‘audiovisuel public qu‘il faut défendre, donc il faut bien qualifier ce que sont les missions irréductibles de l‘audiovisuel public qui fait qu‘il n‘est pas fongible dans l‘offre d‘informations, de production culturelle, d‘animation », a expliqué le chef de l'État devant l'Association de la presse présidentielle.
Le président de la République souhaite redéfinir « clairement » les finalités, les moyens et la gouvernance du service public de l'audiovisuel, « qu‘on assure l‘indépendance des contenus, leur pluralisme, leur exigence, la vocation même de ce qu‘est l‘audiovisuel public et qu‘on le fasse de manière très apaisée ». Les arbitrages sur la gouvernance de l'audiovisuel public seront rendus fin mars.