Benjamin Smith, arrivé au poste de directeur général d'Air France-KLM fin septembre, pourrait bien en finir rapidement avec le conflit social qui agite l'entreprise depuis le début de l'année. Selon La Tribune, un accord sur les augmentations salariales sera déposé ce vendredi, et « il y a de fortes chances pour qu'il soit signé », selon un pilote. Le texte, présenté mercredi, consiste en une hausse rétroactive de 2% au 1er janvier 2018, et une seconde hausse de 2% au 1er janvier 2019. La direction ajoute de nouvelles négociations en octobre prochain.
Pour les salariés, ce projet d'accord est plus intéressant que celui porté par l'ancienne direction qui prévoyait 2% de hausse cette année, puis 5% entre 2019 et 2021. Soit 1,65% par an pendant trois ans. Le précédent texte avait crispé toute l'entreprise et même provoqué le départ prématuré de Jean-Marc Janaillac, l'ancien PDG qui a perdu la consultation auprès des employés de la compagnie. Benjamin Smith obtiendrait, peut-être dès ce vendredi ou en début de semaine prochaine, la sortie du conflit social.
Le mouvement entamé au printemps chez Air France-KLM a compté 15 jours d'arrêt de travail et des pertes estimées à 335 millions d'euros. Le tout dans un contexte déjà difficile pour Air France-KLM, qui fait face à une concurrence très affûtée. Une fois cet obstacle salarial enfin franchi, la compagnie aérienne va pouvoir aller de l'avant, comme l'a exposé Benjamin Smith en prenant ses fonctions.
Pour les salariés, ce projet d'accord est plus intéressant que celui porté par l'ancienne direction qui prévoyait 2% de hausse cette année, puis 5% entre 2019 et 2021. Soit 1,65% par an pendant trois ans. Le précédent texte avait crispé toute l'entreprise et même provoqué le départ prématuré de Jean-Marc Janaillac, l'ancien PDG qui a perdu la consultation auprès des employés de la compagnie. Benjamin Smith obtiendrait, peut-être dès ce vendredi ou en début de semaine prochaine, la sortie du conflit social.
Le mouvement entamé au printemps chez Air France-KLM a compté 15 jours d'arrêt de travail et des pertes estimées à 335 millions d'euros. Le tout dans un contexte déjà difficile pour Air France-KLM, qui fait face à une concurrence très affûtée. Une fois cet obstacle salarial enfin franchi, la compagnie aérienne va pouvoir aller de l'avant, comme l'a exposé Benjamin Smith en prenant ses fonctions.