Les résultats du troisième trimestre calendaire de Volkswagen sont sans appel : le constructeur automobile affiche une perte opérationnelle de 3,5 milliards d'euros entre début juillet et fin septembre, avec un résultat net à -1,7 milliard d'euros. Le groupe paie là la provision de 6,5 milliards d'euros qui va servir à faire face aux premières conséquences de la crise, et pour commencer le coût des rappels qui débuteront en début d'année prochaine.
Si ces résultats étaient à prévoir, ils ne sont pas, paradoxalement, si pires que cela. Car sur les neuf premiers mois de l'année, l'entreprise a connu une forte croissance de ses ventes : +8,5% par rapport à 2014, avec un chiffre d'affaires qui s'établit à 160,3 milliards d'euros.
Il faut dire que Volkswagen jouit toujours d'une bonne image en Allemagne, où les consommateurs continuent de faire confiance au groupe. Mieux encore : il semble qu'ils aient acheté plus de véhicules Volkswagen suite au déclenchement du scandale. Ça n'est pas confirmé par l'entreprise, qui doit de toutes manières faire face à une baisse de ses ventes sur d'autres marchés.
Si ces résultats étaient à prévoir, ils ne sont pas, paradoxalement, si pires que cela. Car sur les neuf premiers mois de l'année, l'entreprise a connu une forte croissance de ses ventes : +8,5% par rapport à 2014, avec un chiffre d'affaires qui s'établit à 160,3 milliards d'euros.
Il faut dire que Volkswagen jouit toujours d'une bonne image en Allemagne, où les consommateurs continuent de faire confiance au groupe. Mieux encore : il semble qu'ils aient acheté plus de véhicules Volkswagen suite au déclenchement du scandale. Ça n'est pas confirmé par l'entreprise, qui doit de toutes manières faire face à une baisse de ses ventes sur d'autres marchés.