Xavier Niel ne compte pas rester de côté quant à une éventuelle mutualisation des équipements pour les opérateurs mobiles.
L'opérateur mobile low cost, qui a réussi l'exploit de se hisser en peu de temps, à la quatrième place du classement avec 11 % de parts de marché, a écrit à ses concurrents, à l'Autorité de la concurrence, et à l'Arcep, l'autorité en matière de télécommunications. Il veut bénéficier du partage de réseau.
Cela n'est pas très bien élevé, mais ça pourrait sans doute être efficace. SFR et Bouygues, ses principaux concurrents, négocient en effet tous les deux depuis le mois de juillet pour un partage de réseau en France. Aujourd'hui, les négociations avaient bien avancé, bien qu'ayant pris du retard. Mais voilà que Free débarque et vient une fois de plus, jouer les trouble-fêtes dans le petit monde des opérateurs mobile.
"Nous souhaiterions recevoir de votre part, avant l'achèvement de vos discussions, une proposition raisonnable d'accueil des fréquences de Free Mobile, en "RAN sharing" (partage d'équipements actifs NDLR) sur le réseau que vous envisagez de mutualiser" a notamment écrit Maxime Lombardini, le directeur général d'Iliad, la maison mère de l'opérateur Free Mobile. Ce dernier ajoute qu'écarter Free du gâteau "pourrait être juridiquement critiquable". Une menace à peine voilée en somme…
Bouygues n'a pas encore répondu au courrier tandis que SFR a réagi en expliquant qu'il était encore trop tôt pour parler d'accord, les deux autres opérateurs n'étant même pas encore au point sur les finalités techniques et juridiques d'un éventuel partage de réseau...
Cela n'est pas très bien élevé, mais ça pourrait sans doute être efficace. SFR et Bouygues, ses principaux concurrents, négocient en effet tous les deux depuis le mois de juillet pour un partage de réseau en France. Aujourd'hui, les négociations avaient bien avancé, bien qu'ayant pris du retard. Mais voilà que Free débarque et vient une fois de plus, jouer les trouble-fêtes dans le petit monde des opérateurs mobile.
"Nous souhaiterions recevoir de votre part, avant l'achèvement de vos discussions, une proposition raisonnable d'accueil des fréquences de Free Mobile, en "RAN sharing" (partage d'équipements actifs NDLR) sur le réseau que vous envisagez de mutualiser" a notamment écrit Maxime Lombardini, le directeur général d'Iliad, la maison mère de l'opérateur Free Mobile. Ce dernier ajoute qu'écarter Free du gâteau "pourrait être juridiquement critiquable". Une menace à peine voilée en somme…
Bouygues n'a pas encore répondu au courrier tandis que SFR a réagi en expliquant qu'il était encore trop tôt pour parler d'accord, les deux autres opérateurs n'étant même pas encore au point sur les finalités techniques et juridiques d'un éventuel partage de réseau...