L'attrait du Livret A pour les épargnants français avait déjà été fortement mis à mal en août 2015 lorsque la Banque de France avait annoncé baisser le taux d'intérêt à 0,75%, un niveau jamais vu depuis la création du livret A. Toutefois, la baisse aurait pu être pire puisque le calcul mathématique, calqué sur l'inflation, aurait fait baisser le Livret A à 0,50% s'il avait été appliqué.
Ce 1er février 2016 la situation se répète : alors que le calcul donnait un livret A à 0,50% la Banque de France et le gouvernement ont décidé de maintenir le taux d'intérêt à 0,75% afin d'éviter que la décollecte, qui a dépassé les 11 milliards d'euros en 2015 entre Livret A et LDD (dont le taux est identique au Livret A), ne s'accélère.
Il n'en sera pas de même pour le PEL (Plan Epargne Logement). Le gouverneur de la Banque de France estimait que le taux de 2% actuel était trop élevé. Il a donc décidé de le faire baisser à 1,50%, plus bas que les 1,75% attendus par les experts du secteur.
La baisse ne concernera néanmoins que les nouveaux PEL souscrits après le 1er février 2016. Cela devrait entrainer une augmentation des souscriptions en cette fin du mois de janvier 2016 poussée par les épargnants qui désirent encore bénéficier du taux à 2%.
Ce 1er février 2016 la situation se répète : alors que le calcul donnait un livret A à 0,50% la Banque de France et le gouvernement ont décidé de maintenir le taux d'intérêt à 0,75% afin d'éviter que la décollecte, qui a dépassé les 11 milliards d'euros en 2015 entre Livret A et LDD (dont le taux est identique au Livret A), ne s'accélère.
Il n'en sera pas de même pour le PEL (Plan Epargne Logement). Le gouverneur de la Banque de France estimait que le taux de 2% actuel était trop élevé. Il a donc décidé de le faire baisser à 1,50%, plus bas que les 1,75% attendus par les experts du secteur.
La baisse ne concernera néanmoins que les nouveaux PEL souscrits après le 1er février 2016. Cela devrait entrainer une augmentation des souscriptions en cette fin du mois de janvier 2016 poussée par les épargnants qui désirent encore bénéficier du taux à 2%.