Le quinquennat de François Hollande qui va se terminer en 2017 sera donc, probablement, le dernier et aura été marqué par des promesses non tenues et plusieurs dossiers dans lesquels il a échoué. A commencer par la croissance en France, attendue par Bercy au-dessus de 1,5 % pendant toute l’année 2016 jusqu’à ce que le gouvernement ne se plie à l’évidence et ne rabaisse sa prévision de croissance à 1,3 % ou 1,4 % début novembre 2016.
Le quinquennat de François Hollande aura également été marqué par une forte hausse des impôts pour les ménages, 35 milliards d’euros en cinq ans selon l’OFCE, mais également une baisse de ceux sur les entreprises de plus de 20 milliards sur la même période. Mais la France reste un des pays avec l’Impôt sur les Sociétés (IS) les plus élevés, 33,3 %.
La fermeture des hauts fourneaux de Florange, le dossier Alstom ou encore le mariage pour tous auront marqué les esprits, en bien et en mal. Reste que le chômage n’aura pas baissé, la baisse du nombre de chômeurs de catégorie A entamée après l’été 2016 cachant, en réalité, une hausse du nombre de chômeurs en formation (+16,7 % en un an en octobre 2016).
Niveau déficit public, l’équipe de François Hollande aura réussi à le faire baisser sous les 3 % à l’horizon de 2017 comme le réclamait Bruxelles mais seulement à 2,9 % contre 2,7 % prévus initialement. Et dès 2018, selon les prévisions de la Commission Européenne et à politique économique inchangée, le déficit français devrait augmenter à nouveau et repasser au-dessus de la barre du Pacte de Stabilité atteignant 3,1 %.
Le quinquennat de François Hollande aura également été marqué par une forte hausse des impôts pour les ménages, 35 milliards d’euros en cinq ans selon l’OFCE, mais également une baisse de ceux sur les entreprises de plus de 20 milliards sur la même période. Mais la France reste un des pays avec l’Impôt sur les Sociétés (IS) les plus élevés, 33,3 %.
La fermeture des hauts fourneaux de Florange, le dossier Alstom ou encore le mariage pour tous auront marqué les esprits, en bien et en mal. Reste que le chômage n’aura pas baissé, la baisse du nombre de chômeurs de catégorie A entamée après l’été 2016 cachant, en réalité, une hausse du nombre de chômeurs en formation (+16,7 % en un an en octobre 2016).
Niveau déficit public, l’équipe de François Hollande aura réussi à le faire baisser sous les 3 % à l’horizon de 2017 comme le réclamait Bruxelles mais seulement à 2,9 % contre 2,7 % prévus initialement. Et dès 2018, selon les prévisions de la Commission Européenne et à politique économique inchangée, le déficit français devrait augmenter à nouveau et repasser au-dessus de la barre du Pacte de Stabilité atteignant 3,1 %.