Orange semble vouloir profiter de l’absence remarquée des assistants personnels sur le marché français : s’il est possible de se procurer, via un achat sur Internet, un Google Home ou un Amazon Echo, ils n’ont pas été officiellement lancés dans l’Hexagone. Cette absence a plusieurs implications à commencer par celle de la langue : les deux assistants ne comprennent que l’anglais ce qui en limite le nombre potentiel d’utilisateurs en France.
Djingo, développé pour le marché français, comprend la langue de Voltaire. Un avantage non négligeable face aux principaux concurrents américains qui pourrait bien faire la différence. Orange compte lancer son assistant en 2018. Google aurait, lui, prévu de lancer le sien en France avant la fin de l’année 2017. Amazon ne s’étant pas encore prononcé, le marché devrait être partagé entre Google et Orange, en tout cas au début.
Tout comme ses deux concurrents américains, Djingo répond aux commandes vocales mais l’appareil peut être dirigé via une télécommande ou encore via une application dédiée sur smartphone. Connecté, il peut commander d’autres objets connectés comme les lumières, la musique ou encore la télévision d’Orange. Les usages se multiplieront au fur et à mesure que des objets connectés entreront dans le quotidien des ménages de France.
Reste à voir si les Français seront aussi sensibles qu’outre-Atlantique aux charmes d’un assistant personnel ou si le pari, risqué, d’Orange s’avérera être un échec.
Djingo, développé pour le marché français, comprend la langue de Voltaire. Un avantage non négligeable face aux principaux concurrents américains qui pourrait bien faire la différence. Orange compte lancer son assistant en 2018. Google aurait, lui, prévu de lancer le sien en France avant la fin de l’année 2017. Amazon ne s’étant pas encore prononcé, le marché devrait être partagé entre Google et Orange, en tout cas au début.
Tout comme ses deux concurrents américains, Djingo répond aux commandes vocales mais l’appareil peut être dirigé via une télécommande ou encore via une application dédiée sur smartphone. Connecté, il peut commander d’autres objets connectés comme les lumières, la musique ou encore la télévision d’Orange. Les usages se multiplieront au fur et à mesure que des objets connectés entreront dans le quotidien des ménages de France.
Reste à voir si les Français seront aussi sensibles qu’outre-Atlantique aux charmes d’un assistant personnel ou si le pari, risqué, d’Orange s’avérera être un échec.