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Starbucks avait été au centre de diverses polémiques concernant la fiscalité et l’optimisation fiscale. Le groupe, qui avait son siège social aux Pays-Bas, à Amsterdam, n’aurait payé que 10 millions d’euros d’impôts en 14 ans, alors que le résultat net de l’entreprise sur la même période a été de 500 millions d’euros environ.
La technique utilisée par Starbucks était du même type que celle utilisée par Google et bien d‘autres grands groupes même si ces derniers préfèrent l’Irlande et sa fiscalité extrêmement avantageuse. Rien d’illégal, donc, mais une technique très fortement critiquée.
Ce temps est désormais révolu pour le groupe qui a décidé de déplacer son siège social au Royaume-Uni, à Londres, malgré la fiscalité bien moins avantageuse. Pour Krig Engskov, président de la division Europe de Starbucks, le choix était presque obligatoire pour continuer l’expansion du marché dans le vieux continent.
Afin de se mettre en règle avec le fisc britannique, le groupe a également versé environ 25 millions d’euros au gouvernement histoire, sans doute, de faire profil bas et de ne pas risquer un redressement plus important. Ensuite, la société sera soumise à l’impôt britannique ce qui devrait mettre tout le monde d’accord, y compris le Premier ministre britannique, David Cameron, qui avait annoncé vouloir prendre des mesures pour limiter ce type d’optimisation fiscale.
Mais, surtout, c’est la preuve que Londres devient de plus importante dans le panorama du business international. En début d’année, la nouvelle entité issue de la fusion entre Fiat et Chrysler avait également opté pour un siège fiscal dans la ville de Sa Majesté.
La technique utilisée par Starbucks était du même type que celle utilisée par Google et bien d‘autres grands groupes même si ces derniers préfèrent l’Irlande et sa fiscalité extrêmement avantageuse. Rien d’illégal, donc, mais une technique très fortement critiquée.
Ce temps est désormais révolu pour le groupe qui a décidé de déplacer son siège social au Royaume-Uni, à Londres, malgré la fiscalité bien moins avantageuse. Pour Krig Engskov, président de la division Europe de Starbucks, le choix était presque obligatoire pour continuer l’expansion du marché dans le vieux continent.
Afin de se mettre en règle avec le fisc britannique, le groupe a également versé environ 25 millions d’euros au gouvernement histoire, sans doute, de faire profil bas et de ne pas risquer un redressement plus important. Ensuite, la société sera soumise à l’impôt britannique ce qui devrait mettre tout le monde d’accord, y compris le Premier ministre britannique, David Cameron, qui avait annoncé vouloir prendre des mesures pour limiter ce type d’optimisation fiscale.
Mais, surtout, c’est la preuve que Londres devient de plus importante dans le panorama du business international. En début d’année, la nouvelle entité issue de la fusion entre Fiat et Chrysler avait également opté pour un siège fiscal dans la ville de Sa Majesté.