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Depuis cette année, par exemple, la vente de voitures est autorisée sur l’île. Une nouveauté car, jusqu’à présent, seuls certaines personnes pouvaient importer une voiture à travers des permis spéciaux accordés au compte-goutte. Mais les prix pratiqués restent encore en dehors de la portée du peuple.
Toutefois, cette volonté d’ouverture est appréciée en Europe. L’Union Européenne est en effet le premier investisseur étranger à Cuba et le deuxième partenaire commercial, même si les relations entre le pays communiste et l’Union Européenne restent tendues, notamment à cause du non-respect des droits de l’homme sur l’île.
L’Union Européenne a décidé de donner un signal fort à la petite île des Caraïbes et va entamer des discussions pour réaliser un accord politico-économique qui sera sans doute soumis à certaines conditions. Un accord que le Haut représentant pour la Politique extérieure et la Sécurité, Catherine Ashton, sera chargée de conclure.
Les temps nécessaires à cet accord risquent néanmoins d’être plutôt longs. Les prévisions les plus optimistes de certains représentants de l’Union Européenne espèrent une signature avant la fin de 2015. C’est le cas notamment en Espagne qui voit dans son ancien empire colonial des possibilités d’ouverture (facilitées notamment par l’absence de barrière linguistique) et donc des axes de développement pour sortir de la crise économique.
Mais la question du respect des libertés individuelles et des droits de l’homme sera probablement un frein difficile à surmonter.
Toutefois, cette volonté d’ouverture est appréciée en Europe. L’Union Européenne est en effet le premier investisseur étranger à Cuba et le deuxième partenaire commercial, même si les relations entre le pays communiste et l’Union Européenne restent tendues, notamment à cause du non-respect des droits de l’homme sur l’île.
L’Union Européenne a décidé de donner un signal fort à la petite île des Caraïbes et va entamer des discussions pour réaliser un accord politico-économique qui sera sans doute soumis à certaines conditions. Un accord que le Haut représentant pour la Politique extérieure et la Sécurité, Catherine Ashton, sera chargée de conclure.
Les temps nécessaires à cet accord risquent néanmoins d’être plutôt longs. Les prévisions les plus optimistes de certains représentants de l’Union Européenne espèrent une signature avant la fin de 2015. C’est le cas notamment en Espagne qui voit dans son ancien empire colonial des possibilités d’ouverture (facilitées notamment par l’absence de barrière linguistique) et donc des axes de développement pour sortir de la crise économique.
Mais la question du respect des libertés individuelles et des droits de l’homme sera probablement un frein difficile à surmonter.