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Les revenus mensuels des Français seraient insuffisants pour arriver à la fin du mois pour près d’un Français sur trois (31%) selon ce récent sondage ce qui risque d’être un problème pour la reprise de la croissance en plus d’être un problème quotidien pour toutes les personnes concernées. La situation touche d’ailleurs de plus en plus de personnes (+8% en six mois).
Si 20% des Français dont les revenus sont insuffisants entament leurs propres réserves pour arriver à la fin du mois, ils sont 11% à demander de l’aide soit à des organismes extérieurs soit à la banque par l’obtention de crédits.
Les foyers concernés sont essentiellement (49%) des foyers à revenus modestes (moins de 1 200 euros par mois), des familles nombreuses (42%) et des jeunes (40%) selon le sondage publié par BFM Business.
La situation est inquiétante même pour les ménages qui ne sont pas touchés puisqu’ils sont près de deux tiers (63%) à craindre d’être frappés par la précarité du jour au lendemain. Une inquiétude très présente chez les ouvriers (76%), les salariés du secteur privé (69%) ainsi que les femmes (69%).
Le sondage de LH2 met également en évidence un sentiment très présent : celui de devoir renoncer à des dépenses afin d’arriver à la fin du mois. Il serait partagé par 55% de la population française. Le renoncement au superflu s’accompagne également, chez 18% de la population, du renoncement à des dépenses plus fondamentales comme la santé ou le logement.
Si 20% des Français dont les revenus sont insuffisants entament leurs propres réserves pour arriver à la fin du mois, ils sont 11% à demander de l’aide soit à des organismes extérieurs soit à la banque par l’obtention de crédits.
Les foyers concernés sont essentiellement (49%) des foyers à revenus modestes (moins de 1 200 euros par mois), des familles nombreuses (42%) et des jeunes (40%) selon le sondage publié par BFM Business.
La situation est inquiétante même pour les ménages qui ne sont pas touchés puisqu’ils sont près de deux tiers (63%) à craindre d’être frappés par la précarité du jour au lendemain. Une inquiétude très présente chez les ouvriers (76%), les salariés du secteur privé (69%) ainsi que les femmes (69%).
Le sondage de LH2 met également en évidence un sentiment très présent : celui de devoir renoncer à des dépenses afin d’arriver à la fin du mois. Il serait partagé par 55% de la population française. Le renoncement au superflu s’accompagne également, chez 18% de la population, du renoncement à des dépenses plus fondamentales comme la santé ou le logement.