La chute du pétrole, historique puisque le baril de Brent est repassé sous la barre des 50 dollars pour la première fois depuis la crise économique mondiale, aura entraîné avec elle la déflation en zone euro. Les prix de l’énergie ont en effet chuté de 6,3% en décembre 2014, une chute des prix qui n’a pu être compensée par le reste.
Seuls les prix des services ont connu une augmentation conséquente : +1,2% en décembre 2014. mais cela n’aura pas suffi car les autres prix, ceux de la nourriture, des biens non volatiles et des biens manufacturiers sont restés inchangés.
Du coup, tous comptes faits, les prix en zone euro auront chuté de 0,2% en décembre 2014. Un peu plus que ceux que prévoyaient les analystes qui tablaient sur une baisse des prix de 0,1%.
Toutefois, hors produits volatiles, donc hors énergie, les prix ont augmenté de 0,8% en zone euro. L’inflation dite sous-jacente ainsi calculée est donc positive et est estimée être une donnée plus sûre et objective de l’évolution des prix.
Mais ce qui est sûr est que malgré les annonces répétées de Mario Draghi, notamment concernant les rachats d’actifs, et malgré des taux directeurs au plus bas depuis toujours, l’inflation reste très loin des 2% voulus par la Banque Centrale Européenne.
Seuls les prix des services ont connu une augmentation conséquente : +1,2% en décembre 2014. mais cela n’aura pas suffi car les autres prix, ceux de la nourriture, des biens non volatiles et des biens manufacturiers sont restés inchangés.
Du coup, tous comptes faits, les prix en zone euro auront chuté de 0,2% en décembre 2014. Un peu plus que ceux que prévoyaient les analystes qui tablaient sur une baisse des prix de 0,1%.
Toutefois, hors produits volatiles, donc hors énergie, les prix ont augmenté de 0,8% en zone euro. L’inflation dite sous-jacente ainsi calculée est donc positive et est estimée être une donnée plus sûre et objective de l’évolution des prix.
Mais ce qui est sûr est que malgré les annonces répétées de Mario Draghi, notamment concernant les rachats d’actifs, et malgré des taux directeurs au plus bas depuis toujours, l’inflation reste très loin des 2% voulus par la Banque Centrale Européenne.