Le Premier ministre souhaite accélérer la réductions des dépenses publiques, peut être pour remonter sa côte de popularité qui n'est pas vraiment au beau fixe.
C'est ainsi que le Premier ministre a annoncé ce jeudi un plan d'économies de 50 milliards d'euros, sur les dépenses, d'ici 2017. Le rythme de croisière actuel du gouvernement sera donc maintenu dans l'ordre des choses, à hauteur d'environ 15 milliards d'euros par ans pendant 4 ans. Jean-Marc Ayrault a également demandé, en vue de cela, d'identifier les nouvelles coupes budgétaires dont il pourrait faire les frais dans son ministère, sous peine de voir Matignon débarquer dans son dispositif et de tailler dans le gras.
Ces mesures s'inscrivent dans le cadre de la modernisation de l'action publique (MAP). De nombreux auditeurs sont déjà plongés dans les comptes de nombreuses administrations et politiques publiques, comme celle de la politique familiale, du logement ou de la formation afin d'évaluer leur rapport rendement/coût. En effet, l'hexagone est empêtré dans une multitude de dispositifs, dont l'efficacité reste parfois à prouver.
Le problème, et c'est sans doute pourquoi le Premier ministre réveille un peu son administration, c'est que cette MAP n'a pas eu énormément d'effets positifs depuis son lancement. Certaines critiques évoqueraient un manque d'objectifs économiques chiffrés. Enfin, il faut noter que les députés rentrent également dans la danse de la réduction des dépenses publiques. Ils souhaitent en effet suivre de plus près cette politique, peut être pour voir si leur circonscription sera impactée par les mesures d'économie.
Ces mesures s'inscrivent dans le cadre de la modernisation de l'action publique (MAP). De nombreux auditeurs sont déjà plongés dans les comptes de nombreuses administrations et politiques publiques, comme celle de la politique familiale, du logement ou de la formation afin d'évaluer leur rapport rendement/coût. En effet, l'hexagone est empêtré dans une multitude de dispositifs, dont l'efficacité reste parfois à prouver.
Le problème, et c'est sans doute pourquoi le Premier ministre réveille un peu son administration, c'est que cette MAP n'a pas eu énormément d'effets positifs depuis son lancement. Certaines critiques évoqueraient un manque d'objectifs économiques chiffrés. Enfin, il faut noter que les députés rentrent également dans la danse de la réduction des dépenses publiques. Ils souhaitent en effet suivre de plus près cette politique, peut être pour voir si leur circonscription sera impactée par les mesures d'économie.