Alors que Bob Dudley, PDG de British Petroleum qui a annoncé la suppression de plus de 4 000 emplois à cause des prix bas du pétrole en ce début d'année 2016, estime que le cours du brut se stabilisera vers la fin d'année avant de remonter lentement à partir de 2017, les analystes de différentes grandes banques prévoient que le prix du pétrole pourrait encore fortement chuter.
Chez Morgan Stanley, qui s'aligne avec les prévisions de Goldmans Sachs mais pas pour les mêmes raisons, on pense que le pétrole pourrait baisser dans les prochains mois à des niveaux proches des 25 dollars. Le prix du brut a fait rapidement une incursion sous la barre des 30 dollars cette semaine du 11 janvier 2016 confirmant la tendance à la baisse.
Morgan Stanley prévoit même un risque de voir le pétrole toucher la barre des 20 dollars à cause de la crise chinoise. Cette dernière conduit le gouvernement chinois à dévaluer le Yuan et le seul effet de change pourrait faire encore chuter le prix du pétrole. Goldman Sachs, de son côté, estime que la baisse du prix pourrait être due à un remplissage de la capacité maximale de stockage qui conduirait les pétroliers à brader le brut.
Mais ces estimations ne sont pas les pires qui sont parvenues aux oreilles de la Bourse. La banque britannique Standard Chartered croit que le prix du pétrole pourrait même chuter aux alentours de 10 dollars le baril, un prix jamais vu depuis 1998. La faute en reviendrait intégralement aux traders puisque selon la banque il n'y a "aucune raison fondamentale pour que les prix du pétrole soient en baisse".
Chez Morgan Stanley, qui s'aligne avec les prévisions de Goldmans Sachs mais pas pour les mêmes raisons, on pense que le pétrole pourrait baisser dans les prochains mois à des niveaux proches des 25 dollars. Le prix du brut a fait rapidement une incursion sous la barre des 30 dollars cette semaine du 11 janvier 2016 confirmant la tendance à la baisse.
Morgan Stanley prévoit même un risque de voir le pétrole toucher la barre des 20 dollars à cause de la crise chinoise. Cette dernière conduit le gouvernement chinois à dévaluer le Yuan et le seul effet de change pourrait faire encore chuter le prix du pétrole. Goldman Sachs, de son côté, estime que la baisse du prix pourrait être due à un remplissage de la capacité maximale de stockage qui conduirait les pétroliers à brader le brut.
Mais ces estimations ne sont pas les pires qui sont parvenues aux oreilles de la Bourse. La banque britannique Standard Chartered croit que le prix du pétrole pourrait même chuter aux alentours de 10 dollars le baril, un prix jamais vu depuis 1998. La faute en reviendrait intégralement aux traders puisque selon la banque il n'y a "aucune raison fondamentale pour que les prix du pétrole soient en baisse".