87 % des Français estiment possible de vieillir à domicile
Sans surprise, les personnes âgées de 50 ans et plus citent en premier plus souvent que la moyenne l’inquiétude liée à leur future perte d’autonomie (66 % de citations). Les personnes âgées de moins de 35 ans, quant à elles, craignent davantage la diminution de leurs capacités financières (56 % de citations en premier, contre 43 % pour la perte d’autonomie). 3 Français sur 10 s’inquiètent du désengagement des pouvoirs publics des domaines de la santé et du social, alors qu’une personne sur 5 s’inquiète de l’isolement de la personne vieillissante.
Pour 87 % des Français, il est aujourd’hui possible de vieillir à domicile. En même temps, seuls 23 % envisagement de prendre personnellement en charge les membres vieillissants de leurs famille. Parmi les Français qui envisagent de vieillir hors de leur domicile, 54 % voient d’un bon œil les résidences seniors avec services, 30 % opteraient pour un Ehpad et 15 % pour une maison de retraite.
Pour 87 % des Français, il est aujourd’hui possible de vieillir à domicile. En même temps, seuls 23 % envisagement de prendre personnellement en charge les membres vieillissants de leurs famille. Parmi les Français qui envisagent de vieillir hors de leur domicile, 54 % voient d’un bon œil les résidences seniors avec services, 30 % opteraient pour un Ehpad et 15 % pour une maison de retraite.
Les actifs sont optimistes quant au futur coût de leur maintien à domicile
Toutes catégories d’âge confondues, les Français sont 49 % à redouter la baisse de leurs ressources financières. Interrogés sur le coût envisagé de leur maintien à domicile, les Français donnent des réponses assez hétérogènes et fortement corrélées à leur catégorie socio-professionnelle. Ainsi, les personnes disposant de revenus les moins élevés sont 56 % à estimer que 600 euros par mois leur suffiront. L’ensemble des moins de 35 ans sont 55 %, soit quasiment autant, à opter pour la même somme. Les retraités actuels sont nettement moins nombreux (39 %) à déclarer que 600 euros leur suffisent. 33 % d’entre eux évaluent cette dépense à entre 600 et 1 000 euros mensuels, tandis que 28 % déclarent y consacrer plus de 1 000 euros par mois.
43% des retraités actuels ont déjà fait recours (occasionnellement ou régulièrement) aux services à la personne. Parmi les personnes qui n’ont pas franchi le pas, 53 % se déclarent prêts à y recourir dans l’hypothèse où une telle pratique se révèlerait plus intéressante financièrement pour eux.
Ce sondage a été réalisé par l’IFOP pour le compte d’Adhap Services auprès d’un échantillon de 1002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas), par questionnaire auto-administré en ligne du 16 au 21 mars 2017.
43% des retraités actuels ont déjà fait recours (occasionnellement ou régulièrement) aux services à la personne. Parmi les personnes qui n’ont pas franchi le pas, 53 % se déclarent prêts à y recourir dans l’hypothèse où une telle pratique se révèlerait plus intéressante financièrement pour eux.
Ce sondage a été réalisé par l’IFOP pour le compte d’Adhap Services auprès d’un échantillon de 1002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas), par questionnaire auto-administré en ligne du 16 au 21 mars 2017.