Nantes, Marseille et Strasbourg : voilà les trois nouvelles villes françaises que la start-up californienne a visées ce lundi 8 juin 2015. Et ce malgré la loi Thévenoud qui considère que le service UberPop est illégal. Mais les taxis, bien que surpris, se sont mobilisés.
Des manifestations plus ou moins pacifiques ont eu lieu dans les trois villes de France avec des blocages et quelques heurts entre taxis et chauffeurs d'Uber. Les préfets n'ont eu d'autre choix que de faire appliquer la loi.
Dès le lendemain UberPop a été interdite par le préfet des Bouches-du-Rhône tandis que celui de Loire Atlantique promettait un arrêté très rapidement. Mercredi 10 juin 2015 c'est la dernière ville qui tombe : UberPop a été interdite à Strasbourg. Une interdiction qui a culminé avec trois interpellations dans la capitale alsacienne.
Ce jeudi 11 juin 2015 c'est l'association UFC que choisir qui monte au créneau en dénonçant plusieurs pratiques contractuelle qu'elle considère illégales en France mais pratiquées par Uber. Notamment en ce qui concerne l'obligation, en cas de contentieux, de se soumettre à la législation des Pays-Bas alors que le siège social d'Uber France est bien en France.
Le lancement d'Uber dans les trois nouvelles villes a donc été un véritable échec pour le groupe californien valorisé 40 milliards de dollars.
Des manifestations plus ou moins pacifiques ont eu lieu dans les trois villes de France avec des blocages et quelques heurts entre taxis et chauffeurs d'Uber. Les préfets n'ont eu d'autre choix que de faire appliquer la loi.
Dès le lendemain UberPop a été interdite par le préfet des Bouches-du-Rhône tandis que celui de Loire Atlantique promettait un arrêté très rapidement. Mercredi 10 juin 2015 c'est la dernière ville qui tombe : UberPop a été interdite à Strasbourg. Une interdiction qui a culminé avec trois interpellations dans la capitale alsacienne.
Ce jeudi 11 juin 2015 c'est l'association UFC que choisir qui monte au créneau en dénonçant plusieurs pratiques contractuelle qu'elle considère illégales en France mais pratiquées par Uber. Notamment en ce qui concerne l'obligation, en cas de contentieux, de se soumettre à la législation des Pays-Bas alors que le siège social d'Uber France est bien en France.
Le lancement d'Uber dans les trois nouvelles villes a donc été un véritable échec pour le groupe californien valorisé 40 milliards de dollars.