cc/flickr/Eustaquio Santimano
Les analystes avaient prévu cette hypothèse dans leur fourchette de prévisions de la croissance du pays pour le premier trimestre 2014 qui s’échelonnait entre 0% et 0,4% mais le consensus parlait d’une croissance de 0,2%. DE même, plus réservé, le gouvernement aussi tablait sur une légère croissance de 0,1% pour cette période. La publications de chiffres de l’Insee auront déçu tout le monde.
Selon l’Insee, les premières estimations parlent d’une croissance nulle pour le premier trimestre 2014. La faute, selon l’institut, à une baisse de la demande intérieure et du commerce extérieur que le pays n’a réussi à compenser que grâce à un renouveau des stocks des entreprises.
La consommation des ménages a en effet baissé de 0,5% tandis que les investissements ont baissé de 0,9% (-0,5% pour les entreprises). Ces deux paramètres ont donc contribué négativement à la croissance du pays.
La baisse de la demande intérieure a fait chuter la croissance de 0,4% tandis que la balance du commerce extérieur a fait baisser la croissance de 0,2% en plus. Cette chute de 0,6% a été compensée par une variation des stocks positive de 0,6%. Les deux données se sont donc mutuellement annulées.
Toutefois, un point positif subsiste dans la publication des chiffres de l’Insee et c’est la révision de la croissance moyenne pour 2013 qui est passée de 0,3% à 0,4%.
Selon l’Insee, les premières estimations parlent d’une croissance nulle pour le premier trimestre 2014. La faute, selon l’institut, à une baisse de la demande intérieure et du commerce extérieur que le pays n’a réussi à compenser que grâce à un renouveau des stocks des entreprises.
La consommation des ménages a en effet baissé de 0,5% tandis que les investissements ont baissé de 0,9% (-0,5% pour les entreprises). Ces deux paramètres ont donc contribué négativement à la croissance du pays.
La baisse de la demande intérieure a fait chuter la croissance de 0,4% tandis que la balance du commerce extérieur a fait baisser la croissance de 0,2% en plus. Cette chute de 0,6% a été compensée par une variation des stocks positive de 0,6%. Les deux données se sont donc mutuellement annulées.
Toutefois, un point positif subsiste dans la publication des chiffres de l’Insee et c’est la révision de la croissance moyenne pour 2013 qui est passée de 0,3% à 0,4%.