La France n'est pas encore en déflation mais s'y rapproche fortement alors que la reprise économique n'est pas au rendez-vous et que selon Bruxelles c'est la zone euro dans son ensemble qui devrait tomber dans la déflation en 2015. Mais pour l'instant l'Insee ne parle que "d'inflation négative" car, en termes économiques, pour qu'il y ait déflation il faut que les prix soient en baisse pendant plusieurs trimestres.
Il n'empêche que bien que le terme déflation ne soit pas encore officiellement employé, la déflation semble bien là.
En janvier 2015, en effet, les prix à la consommation ont chuté de 1% par rapport à décembre 2014. Une chute que l'Insee impute "essentiellement" à la période des soldes d'hiver qui vient de se clore et aux réductions qui lui sont associées.
Mais ce qui est plus inquiétant est que les prix à la consommation ont chuté de 0,4% par rapport à janvier 2014, soit sur un an. Là on peut dire que la chute du prix de l'énergie et surtout des produits pétroliers (le pétrole a vu son cours s'effondrer durant le deuxième semestre 2014) y est pour beaucoup. Mais cela ne risque pas de tout expliquer.
L'inquiétude est d'autant plus forte pour le gouvernement français qu'il espère voir, en 2015, une croissance de 1% pour le pays, croissance qui ne risque pas de se concrétiser si une période de déflation s'installe dans l'Hexagone.
Il n'empêche que bien que le terme déflation ne soit pas encore officiellement employé, la déflation semble bien là.
En janvier 2015, en effet, les prix à la consommation ont chuté de 1% par rapport à décembre 2014. Une chute que l'Insee impute "essentiellement" à la période des soldes d'hiver qui vient de se clore et aux réductions qui lui sont associées.
Mais ce qui est plus inquiétant est que les prix à la consommation ont chuté de 0,4% par rapport à janvier 2014, soit sur un an. Là on peut dire que la chute du prix de l'énergie et surtout des produits pétroliers (le pétrole a vu son cours s'effondrer durant le deuxième semestre 2014) y est pour beaucoup. Mais cela ne risque pas de tout expliquer.
L'inquiétude est d'autant plus forte pour le gouvernement français qu'il espère voir, en 2015, une croissance de 1% pour le pays, croissance qui ne risque pas de se concrétiser si une période de déflation s'installe dans l'Hexagone.